Etoile des Vents
Messages : 6661 Date d'Inscription : 10/02/2014
Personnage Âge: X lunes (mois de changement) Rang: Votre Personnage : | Sujet: Le Meilleur Post de RP ! Lun 30 Mar 2015 - 19:26 | |
| Hello tout le monde :B Après un taux de participation très très très élevé *tousse* au concours organisé pour l'anniversaire du forum [Click ici pour plus d'infos], je lance aujourd'hui les Votes pour le Meilleur Post de RP du forum, qui a été écrit pendant l'année d'existence de QCUD ! Donc, vous pourrez voter grâce au sondage ci-dessus, et voilà les textes participants ! (cliquez pour arriver aux liens) :
Numéro 1) "Je suis dans un autre monde que le tien, mais la mort nous séparera jamais", texte écrit par Nuage de Harfang et présenté par Twist. > - Spoiler:
Je fis une nuit sans rêve à moins que je m'en souvienne pas. Peut être était-il trop violent, trop cruel pour que ma mémoire veuille garder ce souvenir. Quand un souvenir est insupportable la mémoire le jette automatiquement à la poubelle pour éviter qu'on souffre. Ca nous permet de tenir en cas de coup dur, de nous relever et de marcher à nouveau droit et fier. Nous avons un cœur neuf et remplit d'amour, tout mauvais souvenirs étant effacé. Il reste que le meilleur en nous.
Je me lève d'un bond de ma litière et m'étire longuement, j'avais une touffe de mousse dans la patte aujourd'hui. Je n'avais vraiment envie de rien faire, peut être pourrais-je me promener sans qu'on remarque mon absence. Impossible, il y aura forcément un chat qui me cherchera j'en suis sure. Je soupire et fini mon étirement. Une fois tout ca terminé, je sors de la tanière des apprentis. L'aube était levé depuis un petit moment, j'avais lézarder dans ma litière de mousse. Je me dirigeais vers la tanière des guerriers pour trouver mon mentor. Je ne le trouvais pas, je me dis qu'il devait être partit avec la patrouille de l'aube. Elle n'était pas encore arriver, elle n'allait pas tarder. Je retourne sur mes pas et pris une souris dans la réserve. Je l'emportais dans la pouponnière et le déposais devant les reines somnolentes. Je sors aussitôt en entendant la patrouille revenir. Cerbère n'en faisait pas partit. Je commençais à m'inquiéter, ou peut il bien être ? Il est peut être partit chasser seul. Je saluais mon voisin de chambré qui faisait partit de la patrouille de l'aube. Il me rendit mon signe avec un sourire et partit se coucher. Je ronronne, il va pouvoir dormir sans que je le dérange.
Je saute dans le tunnel et m'élance dans la forêt à la recherche de mon mentor disparu. Je commençais à avoir une boule au ventre, est si il lui était arriver quelques choses ? J'essayais de rassurer mes pensées pessimiste en me disant que sa n'arriverait jamais à un guerrier aussi courageux et valeureux que Cerbère. Je croyais ce que je pensais mais je me faisais toujours du mauvais sans pour lui.
Je m'arrêtais à la frontière, je sentis un léger effluve venant de Cerbère. Immédiatement, sans réfléchir je partis dans cette direction. Je courais à vive allure, je glissais et tombais souvent. Je réussis même à me couper sur la truffe. Une ou deux gouttes de sang coulé mais je ne ressentais aucune douleur, c'était juste une égratignure. J'étais dans les terres libres, dans laquelle je ne savais pas. Je changeais tout le temps. Je cherchais l'odeur de mon mentor. En courant comme une folle, j'avais perdue sa trace. Je fini par la retrouver près du pont, elle était plus ressente que la première. J'avançais plus prudemment en humant l'air régulièrement. Je retournais sur mes pas et parcourais la frontière de la neige de long en large. Je fini par déceler son odeur. Je la suivis.
Plus j'avançais et plus je m'éloignais du territoire des clans ou même des terres libres. Je ne reconnaissais aucun paysage, aucune senteur ou presque. L'odeur du guerrier est de plus en plus forte, j'entends un gémissement plaintif. J'accours vers le bruit, je vois mon compagnon coincé sous un tronc d'arbre. Son épaule ouverte, du sang s'écoule abondamment de sa blessure. Je me colle à lui et lui lèche frénétiquement sa plaie avant de m'attaquer à son oreille. Il ouvre les yeux, je le vois en train de me quitter. Je plaque ma truffe dans son pelage avant de lui chuchoter à l'oreille, d'une voix douce :
"-S'il te plait ne me quitte pas. Qu'est que je ferrais sans toi ? Tu es mon gardien, je t'aime Cerbère."
J'examiné le tronc, je n'arrivais jamais à le bouger toute seule. Je m'allonge à ses côtés et plonge ma truffe dans sa fourrure. Des larmes parcours mon visage. > RP
Numéro 2) "La Sentinelle face au Harfang", texte écrit par Petite Sentinelle et présenté par Harfy.> - Spoiler:
Trouble. Chagrin. Vérité. Voilà des jours qu'elle était perturbée. Elle avait été seule, puis avait eu un ami. Puis elle avait été heureuse. Et elle avait aimé. Et maintenant, elle réalisait. Tout avait une fin, et c'était là que son bonheur s'arrêtait. Elle n'avait jamais réellement cherché à comprendre ce qui se passerait une fois le ciel devenu eau - une fois sa personnalité passée de la femelle détestée à la guerrière forte et audacieuse. Pourtant, maintenant, elle comprenait, ce que tout cela impliquait. Son bonheur passé s'arrêtait là. Tout était désormais fini. Il était temps de laisser l'eau de la rivière suivre son chemin tranquille jusqu'à la mer qu'était ce vaste monde. Et même si elle heurterait des vagues parfois hautes, elle continuerait de voguer, jusqu'à ce qu'elle vienne mourir sur une quelconque plage dont le sable doré serait sa dernière demeure. Voilà comment étaient les choses désormais. Il était temps de lever le barrage et de laisser le courant l'emporter. Même si où qu'elle aille, la Lune et les étoiles seraient là, même si où qu’elle soit, le soleil brillerait pour elle, jamais plus elle ne l'entendrait murmurer. Jamais plus elle n'entendrait le fils de l'astre du jour lui souffler des mots doux à l'oreille. Jamais plus elle ne verrait ses beaux yeux froids briller dès qu'il l'apercevrait. Elle serait privée de sa simple présence physique. Mais au fond d'elle, elle savait qu'elle aurait toujours une place pour lui, dans son cœur Elle était condamnée. A cause des démons qu'elle avait été forcée de garder toute son existence durant, elle avait perdu le contrôle de sa vie. Et elle devrait renoncer à la chose la plus belle de toute sa morne présence en ce monde pour retrouver le pouvoir de changer les choses. Elle devrait quitter celui qu'elle aimait pour être libre. Définitivement. Mais en fin de compte, son cœur était toujours prisonnier d'un étau qui ne s'en irait jamais. Elle allait quitter le seul félin qui avait incarné un foyer pour elle, en plus d'être un plus qu'un ami. Pourrait-elle seulement être heureuse une fois partie ? Petite Sentinelle se leva péniblement, les larmes aux yeux. Devant elle, la neige tombait lentement, comme pour rendre l'atmosphère encore plus morose. Le pelage crème de la princesse était couvert d'une fine couche de givre. Elle avait veillé toute la nuit, perdue dans ses sombres pensées mélancoliques. Elle avait fait son choix. Et en assumer les conséquences ne serait pas aisé. Mais elle devrait le faire, pour son propre bien, et pour le bien du doux Murmure du soleil levant. L'astre père, d'ailleurs, comme attristé du départ de sa belle fille, était parti se cacher derrière un épais manteau en nuage blancs. Si la Tribu apprenait sa liaison avec l'apprenti, il risquait d'être chassé. Après tous les efforts qu'il avait dû faire pour être novice, elle refusait qu'il se voie rejeté des siens. Il était désormais un démon, comme eux. Et elle était un ciel devenu eau. La fille de la Lune regarda le ciel chargé de nuages immaculés avec peine. Et tout aussi tristement, baissa la tête et soupira longuement. S'étirant brièvement, puis s'ébrouant afin d'enlever la neige qui s'agglutinait sur sa fourrure crème, Petite Sentinelle consentit enfin à faire quelques pas. Elle avait souvent entendu parler des falaises, ou le vent était roi. Elle pensait peut-être que le messager des astres pourrait la conseiller sur son avenir. En réalité, elle était trop désespérée pour réfléchir. Et elle irait jusqu'au précipice pour retrouver ne serais-ce qu'un éclat d'espoir. Elle erra. Longtemps. Très longtemps. Ses membres étaient engourdis par le froid. Sa conscience aussi. Tourmentée entre son envie avide de s'envoler et son désir de rester auprès de celui qui était sa flamme au milieu du désert de glace qu'était son cœur, elle ne fit même pas attention à son pelage, presque blanc tant il était couvert de neige. Puis elle aperçut le précipice. Et l'espoir - bien que très éphémère - naquit en elle. Accélérant pour la première fois l'allure depuis le début de son chemin, elle monta aussi haut que ses pattes - et les falaises - le lui permettaient. Un vent cinglant lui ébouriffa rageusement la fourrure, dégageant la neige qui s'y était accumulée. Comme si la simple présence de la princesse avait réussi à l'apaiser, l'élément souffla moins fort, transformant ses bourrasques furieuses en caresses à l'intention de la Sentinelle. Un pauvre sourire sur les babines, Petite Sentinelle éclata en sanglots, comprenant qu'elle ne pouvait plus vivre dans la Tribu. Comment pourrait-elle supporter de garder jour et nuit ces démons pendant le reste de son existence ? Elle refusait ce sort. Mais elle était tellement chagrinée. Comment ferait-elle sans Murmure ? Comment ferait-elle si la flamme s'éteignait, la laissant trembler de froid dans son désert glacé ? Après de longues minutes, la princesse crème réussit à calmer ses pleurs. Mais son cœur saignait toujours. Et il ne cicatriserait sans doute jamais. Puis elle regarda devant elle, cherchant à y voir quelque chose. A sa grande surprise, elle s'aperçut qu'il ne neigeait plus, et que le vent était retourné auprès des astres. Perdue dans son chagrin, elle ne s'était rendue compte de rien. Un peu en contrebas, la princesse aperçut du mouvement. Méfiante, et se fiant à son instinct, qui lui soufflait qu'elle n'était pas seule, elle descendit, discrètement, et avec prudence. Elle entendait le bruit de la respiration de l'intrus au fur et à mesure qu'elle s'approchait. Et une odeur féline vint envahir ses narines. En essayant de descendre discrètement d'une pierre, cependant, elle glissa et se réceptionna sur le sol avec maladresse, tombant en poussant un cri de surprise. Elle avait sans doute dû être repérée - rien de plus normal puisqu'elle avait fait assez de bruit pour être entendue. Lorsqu'elle se releva, elle se trouva nez à nez avec une silhouette. Fine, élancée, de la taille de Murmure, à peu près, une magnifique chatte blanche la dévisageait. Ses grands yeux bleus braqués sur elle exprimaient plus de la surprise que de l'hostilité. Pas étonnant qu'elle se soit confondue avec la neige... Se mettant bien debout sur ses pattes, la princesse laissa paraître sa méfiance sur son visage. Néanmoins, si la femelle l'attaquait, elle ne saurait se défendre, et elle mourrait sans doute. Un sort très doux, quand elle y pensait. Elle ne serait ainsi plus tiraillée entre son désir de liberté et son amour pour le fils du Soleil. - Citation :
- Qui es-tu ? demanda prudemment la sœur des étoiles. > RP
Numéro 3) "Derrière le miroir, les visages sont différents bien que j'accorde à dire qu'il sont semblable", texte écrit par Corbeau Blanc et présenté par moi-même.> - Spoiler:
Terre, ô sainte terre. Brise ce qui, en moi, cause l'angoisse et l'amour, la peur et la colère. Que mon âme pure se remplisse de souillure, et que l'innocence de mes yeux se colore de vérité. Mer, ô sainte mer. Lavée donc mon corps de ces cicatrices noires qui s'attachent ma peau comme à celle d'un cadavre, engloutissée mon coeur sous un ocean d'illusions. Ciel, ô doux ciel. Bercé leurs douces paroles du plus amer des poisons, transformé votre brise en un glacial démon, qu'il dévore les cieux, et que ceux-ci en pleurent des torrents de souffrance. Feu, ô Feu; Que puis-je te dire à toi, qui déja me réduit dans des nuées de cendres le plus infimes espoir que mon esprit pourrait accueillir et chérir? Que puis-je te dire sinon que ma vie est une flamme qui s'attise à ton souffle et décroît à ton départ, que je n'attends plus..? Mes chers, votre simple existence suffit à créer une longue liste de souffrance à la pauvre sentence qu'est devenu la mienne. Je regarde le ciel, je n'entend pas le chant du vent. Je regarde la terre, elle est muette et stérile. Je regarde la rivière, aussi muette que les autres. Je ne vois pas le feu, sa flamme me consume déjà. Ce sont des lames de silence qui me perce les tympans, dans une fanfare muette, des insultes sans paroles. Je trace sur le sol des signes étranges. Des traits, des ronds.. La raison? Il n'y en a pas. Tout comme ce sujet n'a pas d'importance. Parler ne sert à rien. Alors je me tais. Et je pense. A quoi? Le sujet précédent. Pourquoi? L'illogisme est sans réponse. Je trace, je pense. Vivre, mourrir, sans importance. Inspirer, expirer. La terre se creuse sous mes griffes, sans cris, sans rien. Elle ne souffre pas. Inspirer, expirer. J'aspire l'air du ciel, l'engloutis dans mes poumons, le recrache. Le silence encore. Inspirer, expirer. Les flaques d'eau s'enfoncent dans le trou que j'agrandis. Inspirer, expirer. Le soleil est haut, chaud, promesse d'une belle journée.Inspiration… et Expiration.
Le soupir m'échappe. Je me lève, abandonne mon "travail", et marche. L'odeur m'envahie les narines. Décompositions, moisissures, cadavres.. Mort, en un mot. Charnier. Corps qui retourne à la terre dans un état de putréfaction. Leur âme sont parties, montées vers le clan des étoiles. Pour les matous. Bientôt, moi aussi, peut-être… Je m'allonge. La senteur nauséabonde me paraît douce. Etrange? Charmant. Je suis en symbiose. Calme et tranquille. Qui viendra, osera me déranger? Le destin, le hasard.. mais je n'y pense pas. Je ferme les yeux, somnolant. Le silence. La terre est humide. J'attends, m'endors doucement. Et le temps s'arrête. J'ouvre les yeux, le charnier disparaît. La terre est verdoyante, les fleurs poussent partout, et les félins gambadent librement, en paix. L'un deux s'approchent de moi, une tulipe dans sa gueule, et la dépose à mes pieds. Il me sourit gentiment, me caresse la tête. Mes yeux se ferment de bonheur. Il se réouvre. Le charnier est de nouveau là. Je frissonne : quel affreux cauchemars. Je m'apprête à me lever, et retombe sur le sol lourdement. Mon corps s'affaisse dans un bruit sourd, et heurte douloureusement la terre à mes pieds. La poussière s'insinère dans ma gueule. Je tousse violemment et me retourne vers l'inconnu. Mon coeur s'emballe, mes yeux se refroidisse, la température chute, mes crocs se serrent. Je sauta à mon tour sur lui, sors les griffes et feule:
-Je n'en ai rien à faire si tu as des Désirs de morts, mais je peux t'assurer que tu risques de bientôt les voir devenir une réalité ! > RP
Numéro 4) "Bienvenue en tant que guerrière", texte écrit par Cerbère et présente par Nuage du Léopard.> - Spoiler:
Je m'éveille doucement dans la tanière des guerriers. La nostalgie traverse mon corps par ailleurs convulsé. J'ignore pourquoi j'ai envie de pleurer, des larmes qui souhaiteraient couler sous l'émotion, pourtant, je reste fort. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'une émotion positive. Je pense de plus en plus à ma sœur en ce moment notamment à cause de ce baptême qui ne devrait plus tarder. La veille il avait plu durant de longues heures, aujourd'hui, le soleil n'est pas présent dans la combe à mon réveil mais je sais au moins qu'il sera peut être là le moment voulu. Je sors de la tanière et m'étire longuement, fixant du regard notre meneuse, Étoile Rêveuse, déjà en haut du promontoire comme prête à annoncer cette bonne nouvelle à une heure si pressante.
Je me dirige instinctivement vers le tas de gibier, prends un mulot et file chercher Nuage de Harfang qui ignore que cette journée va changer à jamais notre relation. Je ronronne pour l'appeler oubliant les contraintes qu'un mentor peut ressentir envers son apprenti, je ne garde pas mes distances cette fois-ci et je lui propose de partager cette souris avec moi, la dernière en tant qu'amant punis par la vie.
Nous la dévorons tel deux vautours bien qu'elle soit plus pure que ça. Je ronronne et passe le début de la matinée avec elle, les guerriers nous jettent des regards pour la plupart surpris, pour d'autres, horrifiés. Les frissons qui me traversaient au début de notre relation sont toujours autant intensif. Je m'en veux d'avoir douté d'elle à mainte reprise, elle a toujours été là pour moi et inversement. A la mort de Nuage de Brume, j'ai pu l'aider et quelques lunes après, la voilà guerrière enfin, bientôt.
Personne ne sort de leurs tanières, ils semblent tous dormir exceptés les quelques guerriers qui m'ont foudroyés du regard. Je ne presse pas ma truffe contre celle de ma douce contrairement à mon habitude car je me dois de rester calme et ne pas m'enflammer tant les sentiments que je retiens sont puissant. Étoile Rêveuse, qui s'était retirée dans sa tanière, ressort et apparaît du haut du promontoire :
« Que chaque membre du Clan des Flammes disponibles se réunissent dans la clairière pour une assemblée du clan. »
Je profite de cet instant d'excitation de foule pour lécher l'oreille de ma douce Nuage de Harfang, qui me dévisage, puis je me lève comme les autres avec elle et de m'avancer au pied du promontoire. Notre meneuse nous fixe, elle et moi et semble vouloir m'avertir de quelque chose mais j'ignore de quoi. Je ne peux m'empêcher de détourner le regard de celui de celle que je considère comme l'incarnation du mal. Le ciel est désormais bien gris, couvert d'une épaisse couche nuageuse. Je soupire, j'aurais tellement aimé une journée ensoleillée pour la baptême de mon apprentie. Je retiens de justesse une légère pression sur la truffe de mon apprentie, ma compagne. J'ai enfin réussi à trouver le juste milieu, je suis triste pour Brise Occidentale mais je reste persuadé que nous pourrions rester ami et elle le sait. Cette femelle est vraiment l'incarnation d'une déesse comparé à cette crotte de renard de chef. Brise Occidentale devrait être chef et Nuage de Harfang lieutenante.
« En cette journée assez grise, je vais annoncer le baptême d’une membre du clan des Flammes. Nuage de Harfang, approche s’il te plaît. »
Je me décolle d'elle, conscient qu'elle doive s'avancer afin de pouvoir recevoir ce fameux nom tant attendu, j'espère qu'il lui conviendra. Je laisse s'échapper un ronron de ma gorge ce qui provoque une légère surprise chez mes voisins, l'un d'entre eux est Brise Occidentale qui me couve d'un doux regard. Nuage de Harfang, comme demandé avance avec grâce et élégance vers la meneuse du clan, je ne peux que rester conquis par cette femelle vu la beauté qu'elle incarne, étant donné sa bonté intérieur et sa délicate odeur.
« Nuage de Harfang, tu as bien prouvé aux autres que tu étais faites pour devenir guerrière. Tu as su montré ta force et ton talent à ton mentor. Aujourd’hui, tu es maintenant digne de devenir guerrière. Désormais, tu te nommeras Harfang des Neiges Toutes mes félicitations. »
Je regarde mon apprentie qui m'adresse un léger sourire avant de faire la procédure. La pluie s'était mise à tomber mais pourtant, je ne pouvais m'éloigner du promontoire. Je fixe ma tendre et hurle en premier – et plus fort que les autres – des mots simples mais qui, pour nous tournent une page de l'histoire :
« Harfang des Neiges ! Harfang des Neiges ! »
Je m'avance vers elle, la foule se décale pour me laisser passer. Et que ça plaise ou non à certaines personne, je plaque ma truffe contre la sienne et ronronne couvert par le bruit des acclamations. > RP
Voilà, n'hésitez surtout pas à voter, et à donner votre avis ! Cependant, un vote par personne, et vous pouvez voter pour votre propre texte, et pour le texte que vous avez choisis de présenter. Mais ne votez pas avec vos comptes multiples, ce serait injuste. Bonne chance à tous ! Les votes seront clos le 15 avril, donc dans deux semaines ! :)
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