Présentation de Tornade de Feu.
Vous :
Prénom (Facultatif) : Leïla ^^
Âge : 12 ans
Sexe : Fille
Puf : Aucun pour l'instant ^^
As-tu lu le règlement ? Yeah! :3
Si oui, donne moi les codes : Validée par Harfy ~
Comment as-tu connu le forum ? Sur un forum, j'ai visité un profil et j'ai cliqué sur le site Web du posteur. Et bam! C'était ici ^^
Un conseil pour l'améliorer ? Aucun, il est super 8D
Votre Personnage :
Noms : Tornade de Feu
Âge en lunes : 15 lunes
Sexe : Masculin
Clan : Bois
Rang : Guerrier
Envie, projet(s), regret(s) de votre chat :Non, il n'a pas le but de devenir un guerrier redoutable, fidèle et loyal, ni même un grand chef très puissant. Il veut juste "embêter" les gens. Les mettre mal à l'aise. Pourquoi? Tout simplement, parce qu'il aime ça.
Lien(s) familiau(x) : Aucun
Physique :
Tornade de Feu. Ah, ce beau mâle blanc à la fourrure immaculée et soignée et aux beaux yeux ambrés! Il a une démarche élégante et très raffinée. Il prend soin de lui pour rester le plus beau possible. Et d'ailleurs, il est très musclé, donc très fort et puissant. Il aime vous regarder avec ce sourire charmeur, qui charme souvent les femelles; surtout les plus sensible. Ses pattes sont longues et musclées, et ses griffes, puissantes et aiguisées son douées à déchiqueter les proies qui osent se mettre sur le passage de Tornade de Feu.
Caractère :
C'est un chat au caractère rebelle, il ne ne fait qu'à sa tête! Il aime se prendre pour le chef, le roi de tout le monde. Et il sait qu'il ne l'est pas, mais il aime prendre ses airs supérieurs avec les autres. Ce qui énerve souvent son entourage. Mais ce n'est pas ça le pire chez lui: c'est un macho. Il aime tourner autour des femelles et profite de ses qualités physiques pour les rendre folles, les "draguer". Il aime jouer à ce petit jeu et leur briser le coeur. Oui, c'est un grand sadique, un profiteur. Mais son enfance à été assez difficile pour lui. Et il essaie de cacher sa douleur en se faisant passer pour un grand charmeur. Il est très sociable mais passe plus de temps avec les femelles qu'avec les mâles. Cependant, il ne s'est jamais vraiment confié à quelqu'un et n'as jamais eu de meilleur ami. En vrai, il a peur d'être rejeté par les autres, c'est en partie pour ça qu'il essaie de se rapprocher des chats autour de lui...
Histoire :
"-Il était une fois..."
"-Non, tu nous a déjà assez raconté cette histoire! On en a marre!" dit ma soeur.
"-Non!" répliquais- je. "Je veux encore écouter cette histoire!"
Et c'était reparti pour une dispute habituelle contre ma soeur, Petite Brise. Moi, mon nom c'était Patte de Feu. J'avais 5 lunes. Ma soeur était ma seule famille. On m'a dit que ma mère est morte à la naissance. Donc mon père qui ne pouvait pas s'occuper de Petite Brise et moi, nous a confié, moi et ma soeur, à une reine qui se prétendait être une grande amie de ma mère et qui s'appelait Tendre Amour. Puis mon papa est parti en nous abondonnant. Tendre Amour nous avait dit qu'il était mort de tristesse. Je ne savais pas si c'était une expression ou si il était vraiment mort. Mais pour moi, ça voulait dire la même chose: il était parti, et on ne le reverra plus jamais.
Petite Brise et moi nous disputions encore une fois dans la soirée. On ne faisait que ça, du matin au soir, contrairement aux autres chatons. Mais on s'aimait, évidemment, c'était la seule famille que j'avais...
La raison de nos disputes? Les histoires. Oui, ces histoires de la bataille contre par exemple le Clan du Sang. J'aimais ça. Mais Petite Brise, elle, non. Elle n'aimait pas trop la guerre, même si elle se montrait "mâle manqué" des fois. Mais moi, j'adorais ça, la guerre. Donc je demandais à Tendre Amour de me raconter des histoires sur eux. J'aimais quand quelqu'un me racontait des histoires. Petite Brise aussi, mais elle préférait d'autres sortes d'histoires. Il n'y en a pas beaucoup, mais ça lui suffit.
Ma soeur et moi nous ressemblons beaucoup. Le même pelage blanc, les mêmes yeux ambrés, et le même caractère de tête de mule! C'est pour ça qu'on se disputait si souvent d'ailleurs. Mais ce n'était pas des vraies disputes, on finissait toujours par se réconcilier quelques minutes plus tard. Et on se câlinait, on jouait, on se taquinait... comme des frères et soeurs quoi! Petote Brise était la personne que j'aimais le plus au monde, et d'ailleurs la seule personne que j'aimais. Même Tendre Amour, je ne l'admirait que pour ses histoires. Je n'aimais pas sa manière de parler, de nous donner des ordres. Je ne sens pas de liens entre nous. Elle est censée être un peu comme ma mère, mais pour moi, c'est une parfaite étrangère! Je ne veux pas dire que je la détestait, mais... Je ne l'aimais pas vraiment. Ni les autres chatons d'ailleurs. Ils me tapaient un peu sur les nerfs et m'embêtaient souvent...
Et les jours passaient normalement, tranquillement, paisiblement, hormis le fait qu'on se disputait tout le temps avec Petite Brise. Mais on se réconciliait de plus en plus vite, au fur et à mesure du temps qui passait.
Mais un jour, ma soeur disparu. Je ne savais pas ce qu'elle avait. Je me rappelait juste que la veille, je m'étais endormi contre elle et sa fourrure chaude sa présence réconfortante. La seule chose qui était anormale, c'était qu'elle m'avait dit "Passe une très bonne nuit, Patte de Feu" au lieu de "Bonne nuit frérot". Je l'avais ignoré et lui dis de passer une bonne nuit à elle aussi, mais elle s'était déjà endormie.
Puis le lendemain, Tendre Amour vint me voir et me demanda si j'avais vu ma soeur. Je lui avait répondu que si je l'avais vue partir, je serais avec elle. Et elle parut vexée. Moi, je m'adressais un sourire de victoire et mon regard hargneux lui fit vite comprendre que je ne l'aimais pas. Puis elle était partie.
Je m'assis et fit ma toilette, de plus en plus inquiet de la disparition de ma soeur. Puis j'entendis la voix de Tendre Amour:
"-Patte de Feu, je suis désolée..."
"-Quoi?!"
J'étais au bord des larmes. Je redoutais la suite.
"-Perite... Petite Brise est morte. Écrasée par un monstre."
J'éclatais en sanglots, envahi par l'épouvante et la tristesse. J'avais perdu ce qui le me restait de ma famille. J'avais perdu une partie de moi. J'étais à présent seul. Sans rien.
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