Princesse Ondine.
Vous :
Prénom (Facultatif) : Lune.
Âge : 13.
Sexe : I'm a little girl. ~
Puf : Grey.
As-tu lu le règlement ? Bien sûr que non!
Si oui, donne moi les codes : mangés par le pot de miel
Comment as-tu connu le forum ? Top-sites, yay.
Un conseil pour l'améliorer ? Huuum... pas vraiment. Franchement le design change légèrement des autres, ce qui ne fait que vous démarquer. Ça engendre de l'originalité. Un bon point.
Votre Personnage :
Noms : Princesse Ondine.
Âge en lunes : 28 lunes.
Sexe : Femelle.
Clan : La Confrérie.
Rang : Rabatteuse, that's possible?
Envie, projet(s), regret(s) de votre chat : Gagner en pouvoir ~ Prouver sa valeur ~ Regrette de n'avoir pas pu tuer sa mère de ses propres pattes.
Lien(s) familiau(x) : Pantin Malfaisant: Frère.
Chimère: Mère.
Père inconnu et tout autres types de liens à définir.
Physique :" elle était belle,
avec ses yeux bleus d'insomnie. "
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Princesse Ondine n’est pas déplaisante à regarder. Nous irons même jusqu’à dire qu’elle est belle, si nous osions. Plutôt petite, légèrement trapue mais avec de jolies courbes, la femelle aborde un joli poil noir mi long, parsemé de nuances rousse qui se terminent délicatement sous son ventre qui vire brutalement au blanc ainsi que sur le bout des pattes. Pour faire simple, cette Princesse possède une robe Écaille de Tortue. Toujours brillant, il en paraîtrait presque poli, le pelage de la dame épouse parfaitement ses formes fines mais athlétiques. Sous ses épaules prononcées roulent de puissants muscles qui font d’elle une excellente combattante, et lorsqu’elle donne libre court à sa rage les dommages peuvent se faire grands. Elle a une démarche amusante, qui lui est bien propre, on pourrait croire que lorsqu'elle se déplace elle entame une danse, ses pattes effleurant tout juste le sol. Cette façon de se déplacer lui donne, avons le, un charme certain. Au dessus de son petit nez rose, posé comme une tâche au milieu de son visage triangulaire, sont situés ses deux yeux, jolies prunelles bleues, comme de saphir liquide, parfois embrasées d’une lueur d’ambition démesurée. Ce qu'il lui a d'abord valu ce nom royal.
Contrairement à son frère, haut sur pattes, siamois, le poil court et la démarche dansante, bref le quasi copié collé de leur mère, Princesse Ondine ressemble bien d’avantage à leur père, tant par le physique, tant d’une autre par le caractère.
Car, ne le nions pas, Princesse Ondine possède beaucoup d’ambitions. Trop même.
Caractère :" mieux vaut un sale caractère que pas de caractère du tout. "
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Avant tout il faut savoir que Princesse Ondine a un caractère relevé. Pimenté même.
Du haut de ses airs de jolie petite minette charmante, délicate et tout ce qui va avec, la demoiselle ne se fait pas marcher sur les pieds facilement. C’est elle qui vous écrase. Pas l’inverse.
Son tempérament de feu est d’ailleurs réputé au sein de son "Clan" et même en dehors, et, gare au malheureux qui s’attire les foudres de la dame car la patience n’est pas sa plus grande qualité. Les personnes qu’elle estime ne se comptent que sur les doigts d’une main et pour obtenir cette dite estime il vous en faudra suer des litres. Impulsive la féline est une vraie bombe à retardement, partant parfois sur un coup de tête dans des situations plus ou moins délicates, sans prévenir, comme un enfant qui piquerait un caprice n'ayant pas eut le jouet désiré. Drôle de personnage me diriez vous et vous n’aurez pas totalement tord. Il est vrai que sa personnalité est tirée par les cheveux et elle est la dernière à le nier. Elle–même a beaucoup de mal avec sa personne, son caractère explosif la fatigue, l’épuise, la tue. Imaginez bien, être constamment dans l’agressivité, la colère, pour passer sans prévenir à une béatitude sans bornes. Agaçant oui.
Pourtant la dame ne manque pas de gentillesse, bien au contraire, elle en déborde littéralement, seulement les sentiments l'effrayent. Elle en a peur en quelque sorte. Peur de la faiblesse que ces sentiments peuvent procurer. Alors elle se renferme dans sa colère et ses sautes d’humeurs et devient cette grenade, cette mine, cette chose redoutée dont ont ne sait pas quand elle explosera.
Tic tac tic tac tic tac, mais ... prenez bien gare au
boum.
Histoire :
" j'entends le chant des sirènes.
t'inquiètes pas. seul les faibles se font bouffer par le système. "
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Petite Ondine regarda longuement son frère d'un air rieur avant de reporter son attention sur la feuille qui était l'objet de leur amusement matinal. Les deux chatons avaient été réveillés de bon matin par un ancien trop grincheux qui s'était mis à crier à qui voulait bien l'entendre que ses articulations le faisait souffrir, et les bambins avaient donc décidé qu'il était temps qu'ils sortent de l’ennuyeuse et étouffante pouponnière qu'ils voyaient d'ailleurs comme une prison pour enfants.
La petite femelle poussa son frère d'un coup d'épaule, qui chancela légèrement sous la poussée, car bien qu'étant plus grand que sa sœur il n'était pas très musclé pour son âge et abordait plutôt la silhouette élancé et agile d'un chasseur. La tigrée se jeta alors sur la feuille dans un petit cri qui se voulait terrifiant, la manqua et s'étala tête la première dans poussière.
« T'es nulle Ondine. »
Se moqua son frère, Petit Pantin, en trottinant de sa drôle de démarche vers la feuille qui, après s'être envolée sous les pattes de la petite féline, avait daigné se poser quelques mètres plus loin. Son frère planta ses petites griffes dans la petite plante et, après s'être approché de sa sœur, l'agita moqueusement sous son nez, les yeux rieurs, un sourire éclatant éclairant son visage enfantin.
« Tais-toi, c'est toi le nul. Il y a eut un coup de vent juste au moment où je sautais c'tout. »
Répliqua Petite Ondine avec un éclat de colère au fond des prunelles.
Petit Pantin lui sourit un peu plus encore, la feuille toujours plantée au bout de sa patte levée en l'air, comme suspendue par des fils invisibles. Puis son sourire perdit de son éclat, se fana subitement et son joli regard couleur vert alla se poser sur un point situé derrière la chatonne.
« Petit Pantin. Petite Ondine. »
Miaula une voix chantante sans appel.
Petite Ondine se redressa brutalement et après avoir croisé les prunelles irisées de son frère, lança un regard mauvais vers l'auteur de ces paroles. Sa mère se tenait à l'entrée de la pouponnière, son poil, si semblable à celui de Petit Pantin, lustré et la queue délicatement enroulée autour de ses fines pattes, elle était en compagnie d'un guerrier quelconque auquel elle lançait des regards remplis de sous entendus douteux.
Il y eut comme une déchirure de plus dans la poitrine des chatons lorsque tout deux se dirigèrent vers leur génitrice qui ne baissa même pas les yeux lorsqu'ils passèrent devant elle pour rejoindre la pouponnière.
Mais Petite Ondine ne tenait plus compte des déchirures depuis longtemps, ou du moins elle s'y forçait, et, bien que Petit Pantin ne semblait pas touché le moins du monde, elle savait que le comportement de leur mère à leur égard le faisait souffrir tout autant.
Elle la détestait. Elle lui ferait payer. Un jour.
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