Quatre Clans, Une Destinée Thème Hiver 2018 © Honey |
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| | Des mots des mots et oui toujours des mots. | |
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Auteur | Message |
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Nuage Lunaire Apprentie
Messages : 162 Date d'Inscription : 20/10/2017
Personnage Âge: 13 lunes (mois de changement) Rang: Apprentie Votre Personnage : | Sujet: Des mots des mots et oui toujours des mots. Jeu 11 Oct 2018 - 0:22 | |
| Hésiter pas a laisser un commentaire sa fait toujours plaisirs. - Avent les larmes.:
Avent les larmes, Tes yeux étaient la lumière de chaque jour, Oui tes yeux étaient le miroir d’un monde heureux, Que même le temps, Ne pourra effacer de mon cœur.
Avent les larmes, Tes yeux étaient clairs comme un jour de printemps, Oui tes yeux étaient plus purs que ceux d’un enfant.
Avent les larmes, Dans tes yeux, J’ai vu briller des millions de soleils, Dans tes yeux, Je n’y ai vu que de merveille.
Avent les larmes, Tes yeux étaient le miroir d’un monde meilleur.
Avent les larmes, Dans tes yeux, Il y avait tant de merveille, Oui, Dans tes yeux, J’y ai découvert un million de soleils, Que même la mort ne pourra effacer de mon cœur.
- Tant de question.:
Où est le pouvoir qui préserve la beauté de la décomposition, Qui protège la vérité contre le mensonge, Qui garde la fidélité de la lente souillure de la corruption? Comment le Mépris peut-il nous diminuer à ce point? Comment la Mort peut-elle ainsi faucher la beauté du monde, Qui souillent ainsi l’herbe en y perdent la vie, Pendant que la terre pleure le vert par le rouge? Où s’évanouissent les murmures et les rêves, Dans l’ombre cramoisie, dans la flaque écarlate qui s’élargit au loin? De tous les gardiens de la beauté, Le qu’elle sera le dernier à passer dans l’ombre de la défaite? Le dernier à subir le charge du désespoir, Le qu’elle sera le dernier à passer dans l’ombre de la défaite dite moi? À tourner le dos dans l’air du soir, À s’enfuir devant cette sombre marée qu’est la Mort, Et à se réfugier dans le noir pour pleurer tout ce qui a êter perdu a jamais?
Tend de question mais, Si peu de raiponce, Telle est le Mort pâle sens fin, Que nous qualifions de vie. Malgré le doux parfum d’espoir, Chaque souffle n’est qu’une exaltation de la Tombe ver le désespoir Les corps tressautent comme de macabres marionnettes, Et la Mort s’avance lentement, Pour nous tirer dans le gouffre infini de l’Oublie.
- Le silence:
Le silence, est la ressource de ceux, Qui reconnaissent, de la noblesse, Au langage.
Du silence naît, Tout ce qui dure et tout ce qui durera.
De la parole meurt tout ce qui a vécu et tout ce qui a duré.
Car ses le silence, Qui nous relie à l'infini de l'univers, Il est l'équilibre de la vie, Et par là, La racine de l'existence.
Le silence, Est clarté mais jamais, Absence de couleur, Il est rythme, Il est le fondement de toutes pensées.
Le silence est une tranquillité, Mais jamais un vide.
Le silence est l'âme des choses, Qui veulent garder leur secret.
Il s’en va quand le jour paraît, Et revient dans les couchent rose
- Plus tard.:
Autrefois, Yeux dans les yeux, Mains dans la main, La vie était belle, Et heureuse, Mais maintenant, Sans toi mon amour, Ton cœur dans mes mains, Je poursuis le chemin de la vie, Mon cœur à mal, De ne plus te voir, Sans toi mon ciel a perdus toutes ces couleurs, Et mon monde est devenu noir.
Mais, Malgré tout, Sous l’ombre, Ou la lumière, Je chante ton nom, Plus tard, plus tard, A mon tour, Je te donnerais mon cœur, Et je suivrais pat a pat le route que tu prendre dans la vie.
Mais pour l’instant je dois suivre mon propre chemin, Ma route se poursuit loin de toi, Maintenant loin en avant ma route se divise, En bien, Bien des chemins différents Et je ne sais le quelle prendre, Sans toi je suis perdu, Je ne ces plus qui je suis, Et ce que je fais.
Plus tard, plus tard, Je reviendrais vers toi, Mon ciel retrouvera toutes ces couleurs, Et mon monde ne sera plus noir de malheur, Mais pour l’instant je dois suivre mon propre chemin, Et ce chemin me pousse loin de toi.
Plus tard, plus tard, Je reviendrais vers toi, De nouveaux, Yeux dans les yeux, Mains dans la main, Nous chanterons de nouveaux, L’amour et la joie.
Plus tard, plus tard, Je reviendrais vers toi, Mais pour l’instant je dois suivre un autre chemin, Qui me pousse loin de toi.
Plus tard, plus tard, Je reviendrais vers toi.
Plus tard, Yeux dans les yeux, Mains dans la main.
Plus tard, Nous chanterons de nouveaux, L’amour et la joie.
Oui, Plus tard, Le monde sera beau.
- Sens toi.:
Dans tes yeux, J'y ai découverts tend de merveille, Dans ton cœur, Un monde meilleur.
Dans mon cœur, Tu y as découverts le malheur, Dans mes yeux, La noirceur.
Dans ton cœur, J'y est vue la lumière, Dans tes yeux, Un milliers de couleurs.
Avec toi j'ai découvert l’amour, Mais avec moi tu as découvert le malheur.
Avec toi je suis devenue vivent, Avec toi j'ai connu l'amour et la joie, Mais en retour tu n'as u que du noir et du malheur.
Et maintenant je te demande, De me pardonné, Oui pardonne moi, Car tu ma tend donné.
Mais toi en échange cas tu u? Que du malheur, du noir et rien que du noir.
Et maintenant tu es parti au loin, Et avec toi sont parties toutes les couleurs, Sens toi plus rien ne vas, Sens toi je ne suis plus rien, Oui, Sens toi je suis perdu.
- Malgré tous La route se poursuit.:
Bonjours toi, comment ça va, quoi de nouveau Moi ça va mal, mon ciel est gris et mon monde est noir Petite ne t'en fait pas dans la vie, ces toujours comme ça Après la pluie, c'est l'soleil, ne t'en fait d'on pas Un autre jour peut-être, l'bonheur finira-t-il par me retrouver Puisque tout vas mal, je dessine l'malheur, j'dessine la haine oui je dessine la mort Mais je n'ai toujours pas oublié, les jours où j'dessinai l’amour, la vie et la joie Et j'en garde l'souvenir au fond d'moi Trouver, j'espère toujours trouver quelque chose, qui pourra m'aider à retrouver la joie Mais à chaque jour j'perds peux a peux espoir Petite ne t'en fait pas dans la vie, ces toujours comme ça Après la pluie, c'est l'soleil, ne t'en fait pas
Tant d'fois on m'dit, que d'ici peu j'ne serais plus triste Et que j’connaitrai bientôt l’bonheur Toi petite, l’soleil t’inonde, tu dis que je sortirai de l’ombre J’aimerai bien te croire petite Mais mon cœur y renonce Quoi de nouveau Moi ça va mal, mon ciel est gris et mon monde est noir Petite ne t'en fait pas dans la vie, ces toujours comme ça
Mon cœur est parti Emportent ma peine, m’suit embarquer avec lui Sur l’voilier du néant Pour oublier Laissant sur l’quai du monde Tous mes souvenirs Laissant l’passé pour n’plus souffrir Si tu savais petite par fois mon âme voudrai mourir Mais Après la pluie, c'est l'soleil, ne t'en fait pas
Malgré tous La route se poursuit sans fin Descendant du néant d’où elle commença Maintenant Loin en avant La route s’étire Et là je dois la suivre Si je le puis La parcourent d’un pat lent Jusqu’à ce qu’elle rejoigne quelque vois plus grande et plus joyeuse Ou se joignent maint maints chemins et maintes courses Et vers quel lieu, alors? Je n’en sais rien.
- L'éternelle:
Je vie mais, Je ne peux point mourir.
Peur de la mort, Point je n’ai.
Car je n’aime, Point la vie.
Triste est l’éternité, Car l’éternelle, Est un spectacle sens fin, Ou milles et millions, D’être aimé disparaisse à jamais.
Triste est ma malédiction, Triste est mon attente éternelle, D’une mort qui ne vient point, Oui, Triste est mon attente de la faucheuse, Qui ne viendras jamais.
Dans l’éternelle néant qu’est ma vie, L’amour n’a plus place dans ce néant, Car les être aimer parte tous mais moi je reste dans l’éternelle, Les larmes aux yeux, Le cœur brisé.
Ma bien aimé, Dans l’éternelle souffrance, Suis-je toujours vivent sans toi ?
Je ne pourrais le dire, Car comme toi, Mon cœur est mort, Avec toi, Les sentiments sont partis, Sans toi je ne ressens plus rien.
Dans l’éternelle vie de malheur, Sans toi je suis solitaire, Sans amis, Sans présent, Ni future, Et sans liens.
Sans toi, Je garde les yeux fermés, Jusqu’à ce qu’ils voient ton visage qui me souriais autrefois, Et je chante le malheur, Qui sans toi, Reste éternelle en mon cœur.
Sans toi, Sous la lune, Je chante l’absence.
Sans toi, Je chante les souvenirs d’autrefois.
Jusqu’à l’aube, Je chante les amours perdus, Oui, Jusqu’à l’aube Je chante ton nom.
Sans toi, Dans l’éternelle, Je tremble et je pleure, Tandis que ton absence ouvre gouffre sanglant en mon cœur, Gouffre, Profond, Oui…abyssal et infini.
Oui, Sans toi, Les souvenirs se bousculent.
Sans toi, Le monde est froid.
Sans toi, J’ai peur, Peur de se monde sans lumière, Car avec toi la lumière est parti.
Sans toi, Tout est gris dehors.
Oui, Sans toi, Le monde a perdu ces couleurs d’autrefois.
Sans toi, Je vais jouer à faire semblant, Que Sans toi, Je peux sourire comme autrefois, Oui que je peux même rire, Mais avec toi, Sont partie les rire joyeux, Et les sourires.
Comme autrefois, C’est à toi que je pense, Mes souvenirs, On dessiné dans l’éternelle, Ton doux visage qui me souriait autrefois, Mais dans un flot de souvenirs il disparaitra.
Sans toi, Je ne suis plus rien, Sans toi, Je n’ai plus rien.
Dans l’éternelle, Le malheur ne quittera point mon cœur, Les flots de larmes à jamais, Coulerons.
Car sans toi, L’éternelle ne vaut plus rien.
- Suis-je vivante:
Suis-je vivante?
Je peux voir Je peux entendre Je peux sentir
Mais l'univers est noir et blanc Les voix sont grêles et frêles
Suis-je vivante?
Je peux respirer Je peux sentir Je peux goûter
Mais l'air ne remplit pas mes poumons Toutes les textures sont grossières Tous les goûts sont voilés
Ce que je ressens est source de confusion qu'en je suis seule je me sens bien Mais il y a toujours ce sentiment de vide
Mais qu'en je sens la présence de quelqu'un L'air se précipite dans mes poumons Me remplit de lumière Et de bonheur
Je suis vivante !
Le monde est remplis de couleurs et de sons Les saveurs émoustillent mon palais Tout est doux et parfumé Je sens le doux murmure du vent sur ma fourrure
Mais qu'en je suis seule
Je ne sens rien Je ne suis rien
Mon cœur est recouvert par les ténèbre Le monde et ces couleurs sou voilé de noir et de blanc, je ni voie rien Dans la solitude je suis aveugle.
Mais qu'en je ne suis seule Je sais qui je suis et ce que je veux
Je veux une vrai vie, car une vie de solitude, oui une vie passé seule est une vie gâchée .
- Tu grandira:
Petit! Toi qui es effacé du monde. Pour eu tu n’es rien. Toi qui a peur de tombé, De disparaître dans le néant. Tu grandis dans un clan où la faiblesse n’est pas admise. Mais tu as peur, Et tu es faible. Pour eux tu n’es rien et tu ne seras jamais rien. Si tu ne changes pas. Mais à quoi bon changé ce qui fait de toi un être unique. Petit? Pourquoi changé. Seuls les faibles changes. Mais la peur n’est pas une faiblesse. Non petit la peur prouve que tu es vivent. Cache tes peurs au plus profond de toi. Ne cherche pas à les détruire, a t’en séparé. La peur à un pouvoir puissent si tu ces bien t’en servir. Petit? Te presses-tu? A tu le don de la patience? Non je le crains. Petit? Es-tu Apprécié, admiré, craint, détesté, méprisé. Non, car en ce jour tu n’es rien, Et tout à la foi. Petit! Oui, en ce jour tu n’es rien. Mais tu grandiras. Fort, tu deviendras. Comme rose au léger parfum, Un doux amour flottera autour de toi, Admirée et craint, Tu deviendras. Tu grandiras alors que le destin tragique, Rampera sans être craint, inattendu. Un jour le mort viendra, Et comme une vieille amie tu l’accueilleras. Oui petit! Un jour, Tu mourras, Comme la rosée du matin, Avant que le soleil ne brille de tous ses feux, Ton temps en ce monde, Je te le promets, Ne sera pas bref. Tu auras la chance, De connaitre, Le doux sens d’un soupir. Ici, L’amour sera ton ange gardien, Mais même l’amour, Te remettra à la mort, Si l’amour est si doux, pourquoi s’inquiéter, Puisque la mort saint est encore plus douce? Petit? À tu peur de la mort? Bien sûr comme tout le monde, Mais il ne faut pas. Non petit. N’est pas peur de la mort. Car si l’amour est si douce, Pourquoi avoir peur de la mort, Puisqu’elle aussi t’aime. Oui petit. La mort nous aime tous, Pour ce que nous somme, Peut-importe ce que tu feras dans ta vie, Elle ne cessera de t’aimer. Alors, Petit! Respecte-la, Jusqu’à la fin,
Et ta mort sera douce.
- Vous me manquer:
Encore une matinée à me demander, Comment je vais combler tout ce vide que vous avez, Laissé. Vous me manques, Je passe mon temps à regarder au loin, Et je ne vous vois toujours pas rentrer.
Que vais-je devenir? Je perdu espoir de vous revoir, Dans un proche avenir, Je vous attends comme si vous alliez rentrer, Vous aller me manquer, Les souvenirs ne cessent de me hanter, Mais, De ma mémoire vous disparaissez.
Encore toute une nuit à rêver de vous, Mais le réveil me replonge dans ce cauchemar, Sans vous, je m'ennuie, je souris Quand je repense aux bon souvenir, Je pense tellement à vous, Parfois, j'ai l'impression d'entendre le son de vautre voix.
Plus les années passent et plus je réalise, À quel point j'avais de la chance de vous avoir.
Petit?
Est tu triste? Tes parent te manques-t-il, Comme je viens de le décrire? Si oui, N’es pas peur de le montré.
Petit?
Si tu savais, Oui petit si tu savais qu’il, Sont toujours et a jamais, Près de toi? Serai tu moins triste?
Petit!
Parfois, Il faut connaître la tristesse pour connaître le bonheur, Entendre le bruit pour apprécier le silence, Et vivre l'absence pour valoriser la présence.
Petit!
Ne pleure jamais pour quelqu'un dans ta vie, Parce que ceux pour qui tu pleures ne méritent pas tes l'armes, Et ceux qui les méritent, Ne te laisseraient jamais pleurer.
Petit!
Même si tu es triste, Carde le sourire, Un sourire est le meilleur maquillage que tu peux porter, Même si tu sais que tout va mal, Même si tu n'as pas la moindre idée de ce qu'il faut faire, Un sourire c'est la meilleure chose que tu peux avoir.
- La timidité :
Petite!
Toi qui vise la lune, En te disent que si tu la ratte, Que de toute façon, Tu tomberas dans les étoiles.
Petite!
Écoute.
Tu dois savoir, Que tu ne pourras, Viser le succès, Si tu refuses de risquer, D’échouer!
Petite!
Tu dois savoir que le succès, Est la somme de petits efforts, Répétés jour après jour.
Petite!
A tu peur? Bien sûr comme tout le monde, Mais, Tu n’as pas peur du noir, Tu as peur de ce qu’il ci cache! Tu n’as pas le vertige, Tu as peur de tomber, D’échoué! Tu n’as pas peur des gens autour de toi’ Tu as peur d’être rejeté! Tu n’as surtout pas peur d’aimer, Non! Tu as peur de ne pas être aimé en retour! Tu n’as surtout pas peur d’essayer encore, Non surtout pas! Tu as peur! Oui tu as peur, De ne pas réussir! D’être blessé à nouveau!
Petite?
Pourquoi reste tu seule? Car tu es timide.
Petite! Je te comprend, Il est tellement plus facile de resté seul, Que de resté avec quelqu’un, Et d’avoir toujours peur, Oui peur! De se faire rejeté à tout moment.
Mais, Petite?
Ces tu? Oui ces tu vraiment, Ce qu’est la timidité? Non je ne le croie pas.
Petite!
Tu dois savoir, La timidité, Elle contient des élans, Des forces, Des marées, Et des volcans. Des mots de bonheur, Des gestes, Des baisers, Mais, Petite!
Hélas, La timidité, Vous fait repousser les gens qui vous aime, Vous fait jeter ces fleurs, Tendrement ramassé.
Oui, Petite!
Elle décide pour vous, Quel avenir heureux,
Vous sera refusé.
- Qu’elle était belle, ma Jument.:
Qu’elle était belle, ma Jument, Lorsqu’elle courait fasse au vent des grandes pleines ! Elle avait, Au soleil levant, Toutes les couleurs du monde, Qui se reflétai sur sa robe noire ! Comme des ballons de satin, Sa robe luisait dans la lumière du couchant ! Sur ces mille et une beauté et qualités. Qu’elle était belle, ma Jument, Lorsqu’elle courait fasse au vent ! Sa crinière en arrière, Porter par la douce brise ! À la fin du levant et du couchant, Elle paraissait à demi cachée ! Dix fois plus vive, Dix fois plus vite, Que le plus fort des étalons ! Qu’elle était belle, cette magnifique créature, Qui nous apporta rêve et merveille, En ces jours de gloire ! Qu’elle était belle, ma Jument, Lorsqu’elle courait fasse au vent !
- Sans relâche.:
Car ma faute, Moi, Je la connais, Ma faute est devant moi, Sans relâche.
Contre lui, Lui seul, J'ai fauté, Ce qui est coupable à ses yeux.
Le vois-tu?
Mauvaise je suis né, Fauteuse, Ma mère m'a conçu.
Sans relâche, La faute me revient, La faute d'une mort, Que je n'es point, Voulu causer.
Les ténèbres elle à trouver, Le premier jour où j'ai vu, La lumière. Sans relâche, Il me dit faible, Et incapable de la moindre réussite.
Oui, Sans relâche, Il me hait, Pour une faute, Que je n'es point, Voulu causer.
Il me juge, Sans relâche, Mais, Moi je m'y refuse. Je ne le jugerais, Point, Afin de ne point, Être jugé.
Car on me jugera, Du jugement dont j'ai jugé.
Malgré tous, Ma marche se poursuit, Sans fin.
Et je dois la continuer, Entraîner par un destin, Don la fin m'est inconnue.
Je poursuis ma marche, Sans relâche, D'un pat lasse, Et vers quel lieu, Alors? Je n'en sais rien, Mais malgré tout, Je continue.
Car, Au bout de cette marche, Il y aura la raison, Pourquoi il fallait continuer, Pourquoi il fallait s'y trouver.
- Liberté et solitude.:
Libre Le redeviendra tu un jour? Oui affranchie? Nul ne le sait Mais songe que le rêve deviendra réalité Garde les yeux fermés jusqu’à ce qu’ils voient les grandes plaines sauvages Chante la prophétie de t’ont cœur Et sois affranchie Oui libre Je suis solitaire Sans amis Sans passé, Ni future, Sans Liens Solitaire Chante l'absence jusqu’à l'aube Jusqu’à ce que le chagrin se soit évaporé Et que le silence devienne communion Et reste sans amis Sans liens Et solitaire Regard le fidèle et mystérieux fort des hommes Dont les murs de servitude Rient et pleurent Tandis que la captivité ouvre un gouffre sanglant en ton cœur Gouffre Profond Oui… abyssal et infini.
- Le profond sens du mot solitude:
La solitude,
Ce n'est pas être tout seul.
La signification du mot solitude et bien plus profonde.
C'est d'être entouré par des gens,
De les regarder et de se dire,
Qui m'aime vraiment,
Qui a vraiment peur de me perdre?
Oui,
C'est de se dire,
Qui s'intéresse vraiment à moi?
La solitude c'est de passer sont temps a cherché les réponses,
A ces questions,
Et de se rendre compte à la fin,
Que la réponse ces:
Personne.
La solitude,
C'est se sentir seul quoi qu'il arrive,
Même si tes amis sont là,
Ou que ta famille t'entoure,
C'est ça,
Le profond sens du mot solitude.
- Bénie soit il:
Bénie soi le lieu où nous,
Nous sommes rencontrés,
Où nos chemins se sont croisés.
Bénie soi ce moment,
Où mon cœur ces emballer,
Où nos regards se sont croisés.
Bénie soi cette femme que j'ai temps aimer,
Et ses yeux que j'ai temps regarder.
Bénie soi le jour et le moment,
Où j'ai osé te regarder,
Où j'ai osé t'aimer.
Bénie soi ce moment.
Oui,
Bénie soi il,
Le moment.
Ou tu à voler mon cœur,
Pour l’éternité.
- Fatigué:
Fatigué que je suis, oui moi vieux fou stupide je me suis de nouveau endormi à la tache frustrée je suis de voir ainsi une nouvelle page détruite par ma stupidité. C’est stupide. Encore une feuille de papier gâchée un effort pour rien. Mes un souvenirs cette ligne me rappelle quelque chose, Cette forme a déterré un vieux souvenir de ma mémoire anthères sou l’oubli et la maladie. Oui j’ai déjà vu cette forme, il me semble, mais ce n’était pas de l’encre. La trace d’une larme sur la joue d’une mère qui étreignait sont enfant forgisé malgré ses cris furieux? Une traînée de sang coagulé sur le pont d’un Navire rouge, et ma main celle qui la versé? Ou bien était ce, une volute de fumée qui s’élevai, noir sur le font bleu du ciel, alors que j’arrivais trop tard pour avertir un village d’une attaque imminente des pirates? Ou encore un poison jaune qui se diluait en tournoyant dans un verre d’eau pure et que je donnais à boire à quelqu’un sans cesser de sourire? Une mèche de femme abandonnée sur mon oreiller? Ou les sillons laisser par les talons d’un homme dans le sable lorsque nous tirions les cadavres des vestiges fumants d’une tour de garde? Comme les Navire rouge, les souvenirs surgissent avec cruauté, sans prévenir, sans pitié. <>, me dit le garçon. Il se tient près de mon bureau et j’ignore depuis combien de temps il est là. Il tend lentement la main pour prendre la plume entre mes doigts sans forces. Fatigués, je regarde la ligne tremblée qu’elle a laissé en travers de ma page. <>, dit encore le garçon et je m’aperçois que je regarde toujours fixement la ligne d’encre sur la page. C’est stupide. <>, dis-je et je le regarde en silence rassembler les feuilles et les empiler sans ordre. Histoires, rêvasserie, dessin, carte, et herbier, tout cela se confond pêle-mêle entre ses mains comme dans mon esprit. Je ne me rappelle plus à quelle tâche je m’étais attelé. La douleur est revenue et il serait si facile de l’apaiser. Mes cette voit comme celle de la sagesse mène souvent à la folie. Qu’il serait doux de se retirer de ce monde, J’ai temps vécu, Temps vue, Temps entendue de chose et fait temps d’autre. Mais je sais au fond de moi que ma marche n’est pas terminer, Que j’ai encore beaucoup à apprendre et à faire apprendre à mon tour, J’ai temps de chose à voir pour la première foi et temps d’autre à revoir. Que je le sais bien, Que même si le fin approche ma marche sera encore longue avent d’atteindre sont bu.
- L'amour une créature sauvage:
Regarder cette magnifique petite créature !
Qu'elle est belle avec sa silhouette élancée,
Et ce corps fin.
Que tu es splendide !
Regarde-toi !
Tu brilles de l'intérieur comme un millier de soleils,
Donc les modestes rayons de douceur et de bonté,
Éclaire le chemin de bien des gens.
Quand tu parles ce ne sont pas juste des mots qui sortent de ta bouche,
Mais une véritable symphonie de douceur,
Qui remplisse n'aux cœurs de bonheur !
Je pourrais m'empêcher de regarder ton corps remplit de douceur !
Je pourrais aussi ne plus faire attention à la splendeur de ton aura rempli de rayons de bonheur !
Je pourrais aussi mais,
Avec regret ne plus écouter la douce symphonie qu'est ta voix remplit de douceur !
Mais, Je ne pourrais cesser de regarder,
Les profondeurs de ton doux regard vert,
Remplit d'amour,
De respect,
Et d'une étincelle de naïveté !
Si belle,
Si Magnifique,
Si douce,
Si travaillant et persévérante !
Toujours à la recherche de pourquoi des choses,
À la recherche de la connaissance qui nous entoure.
Mais si jeune et si naïve,
Tu crois au Prince charmant,
Et au coup de foudre,
Au le coup de foudre ce moment où notre regard croise celui de quelqu'un et que tout s'arrête,
Que notre cœur cesse de battre,
Et que tu ne voies plus que la profondeur de son beau regard !
Pauvre de toi petite,
Toi qui as été bercé par de douce histoires d'amour tout plus magnifique et romantique les unes que les autres.
Oui,
J'ai bien dit pauvre de toi,
Car tu ne pourras surement jamais connaitre le profond et doux sens de l'amour.
Malheureusement à un compagnon,
Tu ne peux penser !
Pauvre de lui !
Ton cœur plein de douceur et de bonté !
Ne pourra avoir que de tristes amitiés,
A fonder une famille tu ne pourras jamais penser !
Pauvre de toi !
Même la menthe avant de se faner,
Laisse ses graines au sol tomber,
Et après l'hiver vont germer !
Si tu savais,
Il est si doux de se retirer,
La vie et la ligner ainsi protégée !
Fut un temps où tous étaient libre peu importe leur statut,
De vivre avec passion !
De vivre de la magnificence et de la douceur infinie que peut apporter l'amour !
De ses progrès lents et délicieusement douloureux par moment,
De l'angoisse de l'attente,
Des plaisirs et de la douceur du cœur !
Mais,
Maintenant certain se sont m'y en tête,
De nier ces plaisirs et de s'abstenir du désir !
L'amour malheureusement,
Est devenue chose précieuse d'ont certain son privé !
Mais on ne peut mettre l'amour en cage !
Car il finit toujours par en sortir de plus en plus fort et magnifique !
Car l'amour ne connaît ni raison ni faute !
L'amour est une force de la nature,
Une créature sauvage !
Libre et affamée qui exige tout de celui qu'elle possède.
- Mon tendre enfant.:
Mon tendre enfant,
Toi que j'aime le jour et la nuit !
Mon cœur désarmé !
Les cieux de tes larmes sont inondés !
Quelle épaule et quels cœurs ?
Pourrais calmer les larmes de ton cœur ?
Ô mon pauvre enfant dit moi ?
Quel malheur ?
Quelle chaîne ?
Emprisonne ton bonheur ?
Ô pauvre petit dit moi ?
D'où viennent ces pleures ?
Qui ne veulent quitter ton cœur !
Où fut forgé ton malheur ?
Quel œil ?
Quelle main ?
Pourra trouver l'origine de tes pleures ?
Ô mon pauvre enfant !
Toi qui pleures dans la nuit !
Quels cieux ou profondeurs ?
Où ce cache ce malheur ?
Qui étouffe ton bonheur ?
Qui brûle ton cœur ?
- Confiance et Persévérance:
Petite !
Le grand jour approche !
Les jours d'apprentissage arrivent !
Prépare-toi !
A ce jour tu vas devenir !
A ce jour tu vas grandir !
Qu'as-tu dit petite ?
Tu ne t'en sens pas capable dit tu ?
Dits-moi petite ?
Pourquoi ?
Oui,
Pourquoi ne t'en sens-tu pas capable ?
Tu es peut-être maladroite, rêveuse et étourdie,
Tu as peut-être aussi un mauvais sens de l'observation.
Mais regarde toi petite !
Tu es merveilleusement gentille et mature,
Tu aimes ton clan et tu te soucies des autres !
Petite ?
Dis-moi ?
Que veux-tu devenir ?
Tu dis aimer les récits de vielles batailles,
Et tu t'imagines à l'occasion être à la place de ces guerriers d'autrefois.
Tu rêves par moment de devenir guerrière,
Et d'autre guérisseuse !
Guerrière,
Pour montrer le courage d'ont tu doutes être capable !
Guérisseuse,
Pour guérir tes camarades plutôt que de devoir faire mal !
Car tu as peur de faire mal aux autres et d'avoir mal à ton tour !
Mais solen-toi,
La tâche est trop lourde pour toi !
Petite ?
Pourquoi ?
Oui,
Pourquoi doute tu t'en de tes capacités ?
Le sais-tu ?
Moi je croie savoir pourquoi !
Selon moi le problème ce n'est pas que tu n'es pas assez courageuse,
Ou que la tâche est trop lourde pour toi !
Oui petite !
Ce n'est pas cela le problème,
Le problème c'est que tu ne cesses de dire que tu n'en es pas capable !
Que tu n'as pas assez confiance en toi !
Car tout,
Oui,
Tout est possible avec un peu de détermination et de confiance !
Alors,
Même si tu croies que tu ne peux pas,
Même si tu ne t'en croies pas capable,
Ou que tu croies que la charge est trop lourde pour toi !
Garde confiance !
Oui,
Continue a persévérer petite !
Continue a avancer quoi qu'il arrive !
Car je te le dis !
La confiance et la persévérance à eux deux sont la clef du succès !
- Un texte pour l'album des finissants:
Je suis de ceux qui croient qu'au bout du chemin,
Il y aura la raison !
Pourquoi il fallait s'y trouver !
Pourquoi il fallait y marcher !
Je suis de ceux qui aiment mieux mourir incompris,
Que de passer leur vie à s'expliquer !
Je suis de ceux qui croient que c'est le silence,
Qui nous relie à l'infini de l'univers !
Qu'il est l'équilibre de la vie,
Et par là,
La racine de l'existence !
Selon certain je suis de la race des artistes,
D'autres de la race des philosophes et des poètes !
Je n'étais,
Je suis,
Et je serais !
Je suis poète !
Je suis solitaire et artiste !
Je suis L.A.S
L'artiste Solitaire
- Moi ou suis-je dans ce monde ?:
Je suis dans une forêt, Dans un monde si petit et si grand à la fois !
Je suis dans un univers merveilleux, Je suis dans un endroit et puis je suis dans un autre !
Car quand on écrit une histoire ou un poème ont est aspiré dans l'univers que nous créons !
Alors, je ne suis jamais à la même place !
Oui je suis en constant déplacement !
Car je ne fais qu'écrire et créer !
Écrire un art que nous ne devrions jamais oublier, Oui il ne faut surtout pas oublier cet art magnifique comme nous en avons oublié d'autre !
Écrire c'est un pouvoir infini, Des possibilités infinies et bien plus !
Les pouvoirs de l'écriture sont infinis t'en que tu as une imagination débordante, Oui l'écriture a le pouvoir de nous faire voyager !
Oui moi je suis partout, Partout où l'écriture pourras m'amener !
Oui je suis dans tous les lieux que je peux imaginer !
Mais vous ou êtes-vous ?
Sur une autre planète ?
Dans une autre galaxie ?
Dans un système solaire éloigner ?
Ou dans vautre propre monde perdu dans votre petite tête quelque part dans un monde infini ?
Oui dans vautre monde imaginaire ?
Ou êtes-vous seulement devant un ordi à lire mon texte, Le tête plaine des questions que vous venez de lire ?
- Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme !:
Au gré des envieux, Et des jaloux!
La foule me hais et me blâme !
Vous me connaissez !
Vous !
Vous m'avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs !
Regardant et rêvant !
Vous le savez bien !
Vous m'avez vu grandir !
Oui moi, Petit être solitaire !
Vous m'avez vu aimer et vous me verrez m'éteindre ! Mourir !
Oui vous me verrez disparaître !
Vous me verrez redevenir poussière, Car poussière j'ai été et poussière je dois redevenir un jour !
Mais ce jour ne soyez pas triste, Car je ne serais pas seul !
Car ma grande amie la mort, M'amènera dans les cieux pour que je puisse veiller sur vous !
<<L.A.S-L'artiste solitaire>> Nouveauté des dernier jours: - Les histoires:
Écrire une histoire est une chose bien étrange !
C'est agréable et pénible en même temps !
Une fois qu'on a commencé on ne peut plus s'arrêter !
On voudrait se détendre penser à autre chose,
Mais c'est hélas impossible !
On est comme en prison sauf que la prison elle est à l'intérieur de soi !
- Écouté un art oublié !:
Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois,
Dans tout ce qui m'entoure et me cache à la fois,
Je me sens si grand et si petit à la fois !
Dans votre solitude où je me sens cher en moi-même,
Je sens quelqu'un de grand qui m'écoute et qui m'aime !
Oui qui m'aime et qui m'apprécie pour ce que je suis et non pour ce que je ne suis pas !
Taillis sacrés ou Dieu même apparaît,
Arbres religieux,
Chênes,
Mousses et forêt !
Forêt !
C'est dans votre ombre et dans votre mystère que je me sens si bien,
C'est sous votre branchage auguste et solitaire,
Que je me sens le plus en sécurité !
Que je veux abriter mes sentiments ignorés,
Et que je veux dormir quand je m'endormirai pour l'éternité !
Car j'ai été poussière au tout début et à la toute fin je redeviendrai poussière,
Car toute vie à une fin !
Mais avant ce jour je vais écouter !
Oui,
Écouté ce que tout le monde ne peut écouter,
Car pour eux vous n'êtes que de simples arbres !
Mais moi,
Je les compris,
Oui j'ai compris que vous,
Arbre centenaire,
J'ai compris que vous avez t'en as nous apprendre,
Car vous vieux arbres vous entendez tout !
Oui vous voyez tout !
Si vous prenez le temps d'écouter vous avez la possibilité d'apprendre t'en de choses !
Mais les nouvelles générations ont oublié !
Oui ils ont oublié que prendre le t'en de vous écouter,
Peux leurs apprendre t'en de choses !
Mais moi je n'ai pas oublié que prendre le temps d'écouter peux t'en nous apprendre !
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Nuage de Bleuet Chaton
Messages : 152 Date d'Inscription : 30/09/2018
Personnage Âge: 6 lunes, (Décembre) Rang: Chaton Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Jeu 11 Oct 2018 - 8:19 | |
| C'est très joli ! Je n'ai pas encore tout lu, pas le temps, désolée, mais le premier est bien fait |
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Nuage Lunaire Apprentie
Messages : 162 Date d'Inscription : 20/10/2017
Personnage Âge: 13 lunes (mois de changement) Rang: Apprentie Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Ven 12 Oct 2018 - 0:14 | |
| Merci Yrissa, En espèrent que les autre te plairons aussi. |
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Nuage de Bleuet Chaton
Messages : 152 Date d'Inscription : 30/09/2018
Personnage Âge: 6 lunes, (Décembre) Rang: Chaton Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Ven 12 Oct 2018 - 8:00 | |
| De rien ! Je viens de tous les lire, tu es vraiment douée ^^ Par contre, il n'y aurai pas un bout de ton poème ''Tu grandira'' dans celui qui le suit, ''Vous me manquez'' ? Dis-le si j'ai mal lu, surtout ^^'' |
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Nuage Lunaire Apprentie
Messages : 162 Date d'Inscription : 20/10/2017
Personnage Âge: 13 lunes (mois de changement) Rang: Apprentie Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Sam 13 Oct 2018 - 0:29 | |
| Hm non je ne croie pas peut-être que les deux ce ressemble puisque ce son deux texte qu'y on pour inspiration des personnage de rp d'une même personne, Mais non Il n'y a pas deux bout pareille dans ces deux texte.
Édit: Pour les intéresser si vous regarder le premier message il y a un nouveau texte bonne lecture.
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Nuage de Bleuet Chaton
Messages : 152 Date d'Inscription : 30/09/2018
Personnage Âge: 6 lunes, (Décembre) Rang: Chaton Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Sam 13 Oct 2018 - 9:03 | |
| Il est très joli aussi ^^ Et désolée pour mon erreur |
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Nuage du Lagon Admine Honey ▬ Apprenti Guérisseur
Messages : 2780 Date d'Inscription : 01/04/2014
Personnage Âge: 9 lunes Rang: Apprenti-Guérisseur Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Sam 13 Oct 2018 - 19:18 | |
| Je suis d'accord avec Yrissa, ce que tu écris est très beau et ça m'a émue. Le "tant de questions" me touche. Est-ce que tu te poses vraiment ces questions et tu as besoin de les écrire pour les évacuer ? Je fais ça aussi... ça fait du bien :) [par contre, c'est vraiment dommage car il y a des fautes comme "avent" au lieu de "avant" ou "le qu'elle" au lieu de "lequel", ça enlève de la beauté à tes textes. Et c'est "qu'as-tu eu" au lieu de "cas tu u" par exemple] Mais bon, ça viendra, le principal c'est le message ça en apprend sur toi en tous cas ! |
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Nuage Lunaire Apprentie
Messages : 162 Date d'Inscription : 20/10/2017
Personnage Âge: 13 lunes (mois de changement) Rang: Apprentie Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Sam 13 Oct 2018 - 20:52 | |
| Yrissa: Merci, A et ne soi pas désoler pour avoir poser une question.
Honey: Salut et merci, A et oui ces vrais les faute enlève un-peu de beauté au texte mais, Je fait de mon mieux pour corriger le tout.
A tu sais j'aime bien ta question de si je me pose vraiment ces question écrit dans ''Tant de questions'' Et bien oui par foi je me pose se genre de chose par moment. J'aime bien penser a la mort et se qui si rapporte, ce qui est triste comme ce qui se rapporte a l'amour, Mais est ce que ces vraiment une façon d'évacuer ces pense de les écrire? Je ne les sais pas vraiment mais, Peut-être que ce l'est mais , Je croie que je voie plus sella comme un simple passe temps.
Édit: salut salut ces juste pour d'ire qu'il y a un nouveau texte pour ceux qui sont intéresser, Bonne lecture. |
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Nuage du Lagon Admine Honey ▬ Apprenti Guérisseur
Messages : 2780 Date d'Inscription : 01/04/2014
Personnage Âge: 9 lunes Rang: Apprenti-Guérisseur Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Lun 15 Oct 2018 - 19:16 | |
| Le principal, c'est que tu aimes le faire :) Moi aussi, je me pose ce genre de questions, et pour moi, les écrire, ça les pose quelque part et ça me soulage |
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Nuage Lunaire Apprentie
Messages : 162 Date d'Inscription : 20/10/2017
Personnage Âge: 13 lunes (mois de changement) Rang: Apprentie Votre Personnage : | Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. Jeu 18 Oct 2018 - 1:45 | |
| Honey: Oui ces vrais l'importent ces que j'aime ce que je fait mais, Il y a pas juste la création de texte ou la transcription de quelque une de mes pensé que j'aime faire, Mes surtout de faire un texte sur la demande de quelqu'un sur sont personnage de rp cela fait... comment je pourrais le dire?? Sa fait changement oui changement des texte facile, Car il est si facile d'écrire se qui nous passe par la tête ne trouver vous pas? Mais d'essayer de réécrire les sentiment que tu ressent dans l'histoire d'un personnage de les faire ressortir et en plus de chercher a trouver comment écrire le texte pour que la personne l’apprécie ces bien plus difficile selon moi, Et ces ce qui rend la chose amusante et drôle même pour certain texte
Comme le nouveau que je vient de poster (L'amour une créature sauvage) Ou quelque autre comme (La timidité), (Vous me manquer),(Tu grandira) ou (Suis-je vivante)qui selon moi est mon plus réussie soff que celui la ces sur un de mes perso alors il ne compte pas vraiment. |
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| Sujet: Re: Des mots des mots et oui toujours des mots. | |
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