Présentation de Vagabond.
Vous :
Prénom (Facultatif) : Mathilde
Âge : 16 ans
Sexe : Fille
Puf : Reese
As-tu lu le règlement ? Évidemment u.u
Si oui, donne moi les codes : Ninja èé
Comment as-tu connu le forum ? Par le partenariaaaat !!!
Un conseil pour l'améliorer ? Pas vraiment non ^^
Votre Personnage :
Noms : Vagabond
Âge en lunes : 25 lunes
Sexe : Mâle
Clan : Tribu des Solitaites
Rang : Guerrier
Envie, projet(s), regret(s) de votre chat : Tu vis, et c'est tout. Pas de but. On obéit aveuglément et on vit. Tu vis. Tu luttes, tu te bat comme un naufragé qui ne veut pas se noyer. C'est tout.
Lien(s) familiau(x) : Tu as eu un père et une mère sans doute, peut être un frère et une soeur aussi. Mais tu t'en fous, comme tout le reste.
Physique :
Tu es un mâle, on ne peut en douter en te regardant, et bien que tu ne te donnes jamais l'air impressionnant tu l'es. Parce que naturellement dame nature t'as doté d'une large carrure, musclée, puissante. Cela peut être un handicape pour toi, toi qui préfèrerai être plus souple et plus rapide. Néanmoins tu imposes le respect par ta présence, par tes larges pattes, par tes crocs que tu laisses deviner. Parce qu'après tout laisser deviner fait bien plus peur que de dévoiler, l'imagination des autres faisant bien son travail.
Démarche de prédateur nonchalante, tu parais beaucoup plus sûr de toi que tu ne l'es réellement, ton corps ondule comme celui d'un serpent et personne ne semble pouvoir stopper ta marche.
Ton pelage est court, épais néanmoins, quoique perdant un peu de son epaisseur en été, et possède une couleur toutes simple, celle d'un chat basique. Pas de couleur tarabiscotée ou quoi, pas de lueur particulièrement voyante, non, tu es dans le basique toi, un vrai chat sauvage, ne se pavanant pas. Ton pelage est brun-roux, très simple, pas de rayures, pas de tâches rien, juste du brun tirant sur le roux à certains endroits.
Caractère :
On n'sait pas trop qui tu es vraiment, toi, le grand chat banal qui marche avec assurance. On n'sait pas qui tu es parce que tu ne parles jamais de toi finalement. Tu t'assois avec les autres, tu discutes, nonchalant, ni froid, ni amical, mais on n'en apprend jamais plus sur toi. Parce que tu caches qui tu es, tu caches ton passé comme une erreur. Comme si tu voulais effacer tes origines comme on efface les mots sur une ardoise. Tu n'es pas quelqu'un de cruel, tu ne fais pas souffrir les autres, mais si jamais tu dois supprimer quelqu'un alors tu le feras. Tu le feras car tu le dois. C'est comme ça, c'est les ordres. C'est un peu comme si c'était la fatalité, comme si ça devait arriver de toute façon. Alors tu y vas et c'est tout.
Tu es un peu comme une machine féline, quelque chose qui avance et exécute les ordres sans jamais se poser de questions. Et les mauvaises langues disent que c'est parce que tu es stupide, alors que c'est faux, tu es très intelligent mais tu en as marre de réfléchir pour rien, de réfléchir dans le vide. Alors tu avances encore et encore, indifférent et nonchalant mais néanmoins fidèle à ta tribus, toujours prêt à exécuter les ordres. Mystérieux.
Histoire :
Tu n'es pas né au sein de la Tribu, non, toi tu es fils de solitaire. Fils d'Oscar et Taïs. Ton père engrossa ta mère après l'avoir lourdement courtisé et charmé, et disparut, comme tout bon coureur de jupon qui se respecte.
Tu naquis une nuit de saison des feuilles vertes, tu avais une sœur, Paillette. Elle s'appelait comme ça parce, quand elle a ouvert ses yeux pour la première fois, ta mère fut stupéfié par la beauté de ses yeux d'or qu'elle compara à des milliers de paillettes, comme les étoiles d'un ciel de nuit. Et toi tu t'appelais Thanatos à cette époque. Oui Thanatos. La mort. Pourquoi un tel nom ? Parce que tu ressemblais beaucoup trop à ton père, et cette ressemblance ne fit que croître au fur et à mesure de ta croissance.
Thaïs s'était sentie brisée par le départ de son compagnon, bien qu'il était particulièrement prévisible. Et elle te le faisait amèrement payer.
Ridiculisé, tourmenté par cette mère qui te montrait les crocs et les griffes, mais défendu par ta soeur, Paillette, qui t'aimais bien plus que ta lunatique génitrice et qui ne supportait pas cette injustice. Et toi, mâle bourru, tu ne savais comment la remercier, alors tu lui filait gentiement un coup de patte sur l'oreille, et cela se terminait en une joyeuse petite baguarre sous l'oeil écoeuré de ta mère. Foutue maman.
Tu avais quel âge à cette époque là ? Une dizaine de lunes peut être un peu plus, et ta croissance était presque finie, déjà tu impressionnais par ta carrure, ta puissance, sans pour autant abuser de cela. Parfois tu montrais un peu les crocs lorsqu'un jeune mâle tournait un peu trop autour de ta soeur, parfois tu feulais lorsqu'un chat des Clans vous disais de dégager de chez eux.
Et puis un jour, tu en as eu marre. Tu as eu mal aussi. Tu te baladais sur le territoire d'un des Clans, avec ta soeur et ta mère qui trainait des pattes derrière, agacée par votre complicité. Toi, Thanatos, tu n'avais pas senti les effluves de ceux qui vous guettaient, de ceux qui vous sautèrent dessus toutes griffes dehors. Du haut de tes 15 lunes tu n'eus pas peur de te jeter dans la bataille, et ta soeur non plus. Par contre ta génitrice battit en retraite, lâche et fragile. Brisée depuis longtemps. La bataille n'était pas équitable et tu battis en retraite, avec la fierté d'avoir quand même infligé de bonnes blessures douloureuses à tes adversaires.
Lorsque Paillette et toi retrouvèrent ta mère, tu lui crachas au visage, et malgré les protestations de ta soeur tu l'engueulas avec violence :
"- Non mais c'est pas vrai ! Pourquoi tu t'es barrée hein ?! Pourquoi tu nous as laissé seuls ?! Tu pouvais pas de battre comme tout le monde ?! C'était pas possible ça ?! C'est bon j'en peux plus de toi de toute façon, je préfère partir, ça te fera pas beaucoup de mal, tu ne m'as jamais considéré comme ton fils. Paillette, tu viens ?
Et le geste de ta soeur fut sans doute ce qui te fis le plus mal dans toute cette histoire. Elle recula, se plaçant à côté de ta mère et secoua la tête en signe de négation. Tu fis le gros dos, grondant sourdement, à la fois choqué, énervé, et surtout blessé par ta petite soeur. Alors, d'un pas lourd, tu te détournas, les épaules voutées, mais l'air digne, et tu disparus aux yeux de ta mère et de celle qui t'avais trahi.
Longtemps tu marchas seul, maugréant pour toi-même, te renfermant sur toi, lassé par cette vie, lassé par tout et n'importe quoi. Et puis ta route croisa la Tribu des Solitaires, alors que tu avais 22 lunes. Prêt à tout pour oublier le reste, tu réussis à te faire accepter, prétendant répondre au nom de Vagabond. Après tout, n'était-ce pas ce que tu étais, un vagabond ?
designed by Twist for QCUD 
Accueil 
