Présentation de PSEUDO.
Vous :
Prénom (Facultatif) : Lou
Âge : 15 printemps les gens 8)
Sexe : Féminin pardi !
Puf : Je suis connu sous le nom de ''Coussin le terrible !" /PAN/
As-tu lu le règlement ? Bah bien sur !
Si oui, donne moi les codes : Keurs sur toi je t'aime
Comment as-tu connu le forum ? Demander à mon premier compte 8D
Un conseil pour l'améliorer ? Hum... L'est parfait :3
Votre Personnage :
Noms : Petit Été
Âge en lunes : 4 lunes
Sexe : femelle
Clan : Neige (si possible)
Rang : chaton
Envie, projet(s), regret(s) de votre chat : Projet : prouver à tous qu'on a pas besoin d'être né dans un clan pour être la meilleure. Envie : se faire des amis. Regret : avoir survécu sans ses frères.
Lien(s) familiau(x) : Aucun pour l'instant, mais il me faudrait une mère/un père de substitution :) (MP si intéressé ^^)
Physique :
Petit Été deviendra grande, mais en attendant, elle est quand même assez haute sur patte pour son âge ! Elle possède un pelage bicolore noir et blanc (mélange de ses parents) et deux grands yeux verts foncés (comme son père). Sa tête est petite, ronde et mignonne. Elle possède un petit nez rose pâle et deux petites oreilles fines et noires. Son corps est fin et élancé, assez frêle encore, et ses petits coussinets rosés sont résistant.
Petit Été à l'habitude de pencher la tête sur la droite quand elle ne comprend pas, et ses oreilles bougent constamment quand elle est agacé, énervé. Elle se déplace généralement la queue basse, la tête baissée et le pas rapide. Elle semble toujours triste et maussade, le regard perdu à l'horizon, bien loin du temps elle courrait et sautait partout. Maintenant, elle ressemble plus à une statue.
Caractère :
Petit Été est plutôt réservée, à l'écart des autres. Elle est toujours en retrait, mais est très attentive à ce qui l'entour. Elle ne parle pas beaucoup depuis son arrivée dans le clan et ne joue que rarement. Elle passe son temps à observer l'extérieur de ses grands yeux verts depuis l'entrée de la pouponnière, mais ne sort pas beaucoup. Elle ne se plaint jamais de rien, et se relève toujours seule quand elle tombe. La solitude est à la fois sa meilleure alliée et sa pire ennemie : d'un côté, elle se sent terriblement seule, et de l'autre, elle ne veut pas se rapprocher des autres, de peur de les perdre aussi.
Elle semble toujours plongée dans ses pensées, le regard vague, comme si elle ne faisait pas parti de ce monde. Elle cache ses sentiments enfouie très loin en elle, pour faire croire que rien ne l'atteins, rien ne la touche, alors qu'elle est extrêmement sensible. Elle n'a plus vraiment goût à rien, même la nourriture lui semble fade. Comparé aux autres chatons, elle n'attend pas son baptême avec impatience, il arrivera quand il arrivera. Mais elle a aussi envie de prouver qu'elle peut être digne du clan, et vivre pour ses frères. Voilà pourquoi elle a prévue de devenir la meilleure guerrière que son clan n'est connue. Elle est plutôt maline, intelligente, calme, silencieuse et généreuse.
Histoire :
Allongeait au fond d'un ancien terrier de renard, une chatte au pelage sombre et aux yeux verts perçants regardait les trois boules de poils collaient à son ventre. Aujourd'hui, quand le soleil avait été à son zénith, elle avait donnée naissance à trois magnifiques chatons, cachait au frais dans son nid de fortune.
C'était une vagabonde, qui ne restait jamais longtemps au même endroit.
Sauf depuis quelques temps. Ou plutôt, depuis le jour ou son regard avait croisé la route d'un matou élégant. Il faut croire que l'amour fait oublier tout le reste.
C'était un chat domestique, blanc tigré aux yeux bleus. Il avait une démarche fière, assurée et un regard doux et rassurant. Il portait fièrement son collier bleu foncé à clochette où était inscrit en grosses lettres noires gravées sur une médaille 'Filou'.
Ils étaient devenu le couple du quartier, et filaient un parfait amour.
Ils se rejoignaient tous les soirs à sa barrière, et passaient parfois la journée ensemble.
Ce soir, elle allait lui présenter ses enfants.
La nuit tomba doucement, fraîche et apaisante. La chatte s'extirpa du trou, laissant ses chatons endormis dedans. Elle camoufla au mieux l'entré, puis couru jusqu'au point de rendez-vous, où l'attendait son compagnon, perchait sur la clôture.
Dès qu'il la vit, il sauta à terre et trottina jusqu'à elle, enfouissant son museau dans le cou de la femelle.
"Viens avec moi, j'ai quelque chose à te montrer." murmura la chatte, l'oeil brillant.
Et elle l’entraîna avec elle jusqu'au terrier, où elle dégagea l'entré.
"Regarde" intima-t-elle en le poussant à regarder à l'intérieur.
Filou passa la tête au fond du nid, et attendit que ses yeux s'habituent à l'obscurité. Après quelques secondes, il distingua enfin trois petites formes, qui gesticulaient et se mirent à couiner. Ses yeux étaient écarquillés quand il sorti la tête du trou.
"Je te présente tes petits
- Ils sont magnifiques" murmura-t-il en lui léchant l'oreille.
*****
Une lune était passée depuis la naissance des chatons, et ceux-ci commençaient à se sentir à l'étroit dans le terrier.
Un couinement plaintif retenti dans le nid, et la mère qui se reposait releva la tête pour regarder ses petits.
"Eté, laisse Charbon tranquille ! Paille, arrête de jouer avec ma queue, veux-tu !" miaula-t-elle.
La petite chatonne noire et blanche fit la moue avant de finalement descendre du dos de son frère, qui se releva et s'ébroua.
Dehors, une clochette retenti, et les trois petits se retournèrent tous vers l'entré du terrier, les yeux brillants.
"C'est papa !" s'écria Charbon en sautant sur le museau de son père quand il passa la tête dans le trou.
Filou remua des moustaches, laissant son fils descendre à terre.
"Comment vous allez, les p'tits monstres ?" s'enquit-il en regardant tour à tour ses enfants.
Eté vint se frotter contre sa truffe en miaulant.
"Je vais bien, mais c'est trop petit pour jouer ici !" se plaignit-elle.
Filou lui donna un coup de langue entre les oreilles en ronronnant.
"Bientôt, vous pourrez sortir. Soyez patient
- Pff, j'en ai marre d'attendre." bouda la petite chatonne en s'asseyant face à son père.
La mère enroula sa queue autour de sa fille pour la ramener contre son ventre.
"Tu verras, la vie dehors n'est pas toujours ce qu'on espère..."
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La neige commença à tomber, et une brise glaciale balaya la terre. Serrées les unes contre les autres, trois petites boules de poils grelottaient, cachées sous un buisson dépourvu de feuilles.
"Il ne faut pas s'endormir..." murmura la petite femelle, disposée à droite du groupe, ses yeux se fermant tout seul.
Elle finit néanmoins par sombrer dans un méandre noir.
Quand elle se réveilla, une douce chaleur l'entourée, et elle sentait une pression sur son flanc gauche. Ouvrant difficilement un oeil, elle remarqua alors une petite boule de poils ébène collée à elle. Son regard chercha alors son autre frère, en vain ; elle ne trouva aucun pelage crème dans son champ de vision. Plissant les yeux, elle se redressa, essayant d'ignorer la douleur dans ses membres. Où était-elle ? Où était passé son frère ?
"Ah. Tu es réveillée ?"
Elle se tourna vers la voix, dévisageant de ses grands yeux verts pâles l'individu qui bouchait l'entrée de ce qui semblait être un grand terrier, comme dans son enfance.
"Où est mon frère ?" fit-elle, tout en se redressant sur ses petites pattes frêles et en se plaçant devant son deuxième frère, toujours endormi.
Le félin eu l'air quelque peu désolé et attristé, et le poils de la chatonne s'hérissa d'effroi.
"Où est-il ?!" s'emporta-t-elle, la peur s'emparant de son corps entier.
Ils auraient toujours dû être tous les trois, ensemble, comme ils l'avaient toujours été.
"Il ne reviendra pas."
Son petit corps s'effondra brusquement, de fatigue et de choc, et elle sombra dans un sommeil profond et noir.
Quand elle se réveilla, longtemps après, elle ne trouva personne à ses côtés, et, prise de panique, s'élança vers la source de lumière, les yeux écarquillaient et l'estomac noué. Elle percuta de plein fouet le même félin que la dernière fois, et son air ne se fit que plus effroyable.
Mais le secouement de tête du matou fini de l'achever, et son petit couinement plaintif signa la fin de tout.
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