Quatre Clans, Une Destinée

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 Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup

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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyJeu 15 Jan 2015 - 22:02

5•J-5
J’attendais depuis une heure quand on m’annonça enfin l’arrivée de mon styliste. Une équipe s’était occupée de moi. C’est-à-dire,me laver, me couper légèrement les cheveux,m’épiler les sourcils, me raser tout poil indésirable, et faire des centaines d’autres trucs. Je me suis sentie gênée pendant toute la durée de ma préparation, presque nue. Je ne leur avais pas facilité la tâche, me laver, c’était déjà trois fois par semaine et me parler de me raser ou autre. Je me fichais un peu de la beauté, je pensais plutôt à l’endroit ou trouver à manger, ou dormir,…

Bref,maintenant, j’attends mon styliste ,Carter . Ce dernier se tient justement en face de moi. Son silence me pèse sur les épaules et ses yeux violets me scrutent de la tête aux pieds. Je croise immédiatement les bras sur ma poitrine . Je ne porte qu’une mince combinaison presque trensparente.Carter s’assoit et pause les coudes sur les genoux, je reste debout attendant qu’il m’ordonne de m’assoir.
-Trop petite, maigre, pas assez de poitrine…maronna-t-il. Tout en gardant les bras croisés, e serrais les poings.
-Bon !Après tout,on fait avec ce qu’on a !Je m’appelle Carter et je serais ton styliste… Quel est la production de ton district, Lauren on aurait-dit un robot, il parlait sans aucune conviction et intonation, mais l’accent de Capitole ponctué ses phrases tout de même. Une énorme différence par rapport à mon équipe, toujours occupée de babiller. Je lui répondis quand même, ce styliste était celui du 8 depuis trois ans :
-Le textile….
-Oui ,le textile, ça nous offre comme un large choix, le textile, le tissus… J’ai oublié une chose, ici le styliste, c’est moi. Toutes tes copines que j’ai eu avant, elles pensées que étant du district de la textile, elles savaient mieux mon boulot que moi. Alors je te le dit tout de suite, tu fabriques le tissus et moi, je l’utilise.compris ?

J’opine de la tête et il se lancent dans un petit discours sur les créations qu’il a faites et tout son métier. Pourquoi autant de dureté ? Je n’allais jamais dire ça en plus ! Je commence à somnoler intérieurement quand il en vient au sujet de départ , ma tenue de défilé. D’après ce qu’il dit, Evan aura une tenue assortie à la mienne ,ensuite il me présente la tenue de base, qu’il a rectifié une fois mes mesures prises, je comprends l’attente maintenant.

La tenue est sublime !Dans le hangar où se trouvent les chariots et les chevaux, nous attendons le départ. Carter est peut-être laconique et sévère, il est très bon. Il m’a d’abord passé une robe rouge bordeaux ,couleur très à la mode d’après lui, très jolie, en décolleté, avec des longues manches,elle m’arrive aux chevilles. Il a ensuite pris plusieurs tissus et les a noués autours de ma taille avant de me passer une cape noire, raccrochée aux épaules avec des petits rubis. Mes cheveux sont rassemblés en chignons, retenu par les bouts de tissus ayant la même couleur et motif que ceux de ma taille avec des touches de rouges par-ci par-là. Avec des petites tresses qui pendent. Il a rajouté de la dentelle noir sur la partie en dessous de la taille de la robe. Je la trouve juste magnifique. Je me suis fait percée les oreilles plus tôt et porte des ensembles, tissus/rubis aux lobes. Evan porte un costume assortit, sans bijoux ni coiffure, on a laissé ses cheveux en leur position naturelle. Tout comme ses yeux, ses deux particularités vont très bien avec la tenue. Mes cheveux blonds et mes yeux bleus beaucoup moins…

Un sifflet retentit, annonçant le signal de départ. Je rejoignis Evan sur le char, les chevaux ébènes piaffaient d’impatience. Il se mit en branle d’un coup et je me retiens à la petite barre du devant. J’agrippe aussi mon voisin, de peur qu’il soit éjecté et le lâche aussitôt, gênée devant le regard étonné qu’il me lancé, un peu vexé. Je dois arrêter de le considérer comme un gosse. Mais c’est un gosse…Je décide de garder le regard rivé sur le dos des ados du 7, des petites feuilles dorées les recouvrent de la tête aux pieds, je trouve ça super beau.

Notre char passe la grande porte et je suis submergée par la vue de tant de monde. Il y en a encore plus qu’à la gare ! Ils crient les noms des tributs et on ne les distingue pas parmi tous ces hurlements. Les voix des commentateurs s’élèvent à leur tour et cette cacophonie me donne déjà la migraine. Au bout de l’allée ou nous défilons, sur le plus haut balcon, il y a un mec qui m’a toujours fait penser à un serpent, ses cheveux blancs sont bien coiffés, sa barbe taillée et son côté vipère est accentué par le costume vert qu’il porte. C’est à cause de ce sal*ud que moi et les autres tributs sommes sur un put**n de char qui nous conduit droit vers la mort, c’est à cause de ce sal*ud que des gosses meurt de faim tous les jours, si on a une vie pourrie de chez pourri !

Je serre rageusement les points et essaye de faire fondre les feuilles des 7 avec mon regards pour éviter de lancer le regard-de-la-mort-qui-tue à notre cher Président Snow. Evan, sentant ma colère me prend la main. Je suis déroutée par sa réaction mais je garde ma main dans la sienne, ce gamin, il mérite encore moins que moi ce qui lui arrive.
Les chars s’immobilisent et nous levons la tête vers le C*n en haut, je croise ses yeux gris clair et frissone, il me donne la chair de poule.

-Bienvenue, chers tributs , nous sommes honorés de vous accueillir pour 71ème Hunger Games ! J’ai ce soir, devant 12 jeunes filles et 12 jeunes hommes, tirés au sort pour participer aux jeux qui sont aujourd’hui, un grands évènement pour les habitants de Panem. Vous allez prouver votre courage , votre force et votre ruse aux cours de ces épreuves et l’unique survivant, sera sacré vainqueur et sera couvert de richesses, témoignage de notre générosité et respect !Je n’ai qu’une chose à vous dire, que le sort puisse vous être favorable !
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Amy

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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyJeu 15 Jan 2015 - 22:38

J'aime quand juste avant de me couchée je peux lire un chap <3<3<3
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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyLun 19 Jan 2015 - 19:50

6•J-3
Un jour plus tard…
Puisse le sort vous être favorable… Cette, je la tournais et retournais dans ma tête. Avant, cette phrase n’avait aucun, juste des mots dit à voix. Maintenant que je suis dans mon lit au huitième étage dans la ville de Capitole dans le pays de Panem elle prend enfin du sens. Les Hunger Games sont avant tout un jeu de hasard, le tirage sort, les objets qu’on a, … en sont témoins ensuite, le moment de notre mort sera plutôt choisi en fonction de nos capacités. Les gars du Capitole nous souhaite parfois sans réfléchir, sans penser au véritable, cette phrase, c’est juste un truc stylé qu’on lors des Hunger Games. Mais on la comprend seulement quand on y est. Car on va mourir, sauf si on a de la chance.

On frappe à la porte, j’enfuis mon nez dans un coussin en grognant un « entré ». Une muette entre sans faire de bruit , je ne m’attends pas aussi à un bonjour ou bonne matinée. Elle était discrète, elle frappait avant d’entrer. Puis déposer des vêtements fraîchement lavés ou de a nourriture quand je le demandais. C’est rare, je préfère faire les choses par moi-même.
Mourir aux HG est le plus grand luxe qu’on peut s’offrir dans les district. Mourir avec classe, c’est vrai que c’est stylé. Mieux que de mourir dans la rue ou brûler vif dans une usine . Je ricane et ignore la fille de mon âge qui n’a pas de langue m’observer avec des yeux ronds. Je m’excuse, croyant qu’elle croyait que je me moquais d’elle et lui explique que ça n’a rien à voir avec elle. Je m’y prends mal et elle sort. Parler à une muette, c’est un peu comme parler avec moi-même.
Je sors de mon lit et prends une douche brulante, j’ai décidé de manger pas trop, en pensant à la stratégie. Mais j'aimerais profiter de ce qu’on m’offre avant de mourir. La douche ici n’a rien à voir avec celle de mon école. Je finis par sortir, rougie par la chaleur et me sèche sous le souffleur géant avant de passer mes doigts sur une barre en métal qui je ne sais pas comment démêle et sèche mes cheveux. J’enfile ensuite ma tenue d’entraînement pour déjeuner.

Ce dernier est toujours aussi silencieux, à part les conversations interminables et aussi inutiles de Jess. On répond par politesse à part Evan , toujours trop sociable au gout de Maria. Pour finir elle nous est utile. Elle nous donne encore quelques conseils avant qu’on parte à l’entrainement. Vu que nous avons aucun talent particulier, nous pouvons essayer tout sans se cacher .
Ca fait à peine deux jours que nous sommes au centre d’entraînement, mais déjà une routine s’est installée. Je me lève, on déjeune en silence, et Evan me suit jusqu’au sous-sol pour commencer. Ensuite on mange, on s’entraîne à nouveau, on revient à notre étage, on mange puis on parle avec Maria et écoutons Carter, Jess et la styliste d’Evan, Grace rire ensemble et s’échanger les derniers ragots qui courent les rues.

Nous sommes en ce moment à la deuxième activité de notre horaire. L’entraînement. Quand on arrive à la salle, je me rends compte qu’on est dernier avant de remarquer qu’il manque les gosses du 5. On rejoint le cercle en trainant des pieds et me retrouve malgré moi entre Evan et un mec du 1, bâti comme un tank. Il me dépasse d’au moins de tête et je résiste à la tentation d’aller me planter devant lui pour lui demander son âge. Je balaie le cercle des yeux, les carrières trépignent d’impatience. En manque d’action ? J’accroche les yeux gris d’un tribut et me rends compte qu’il me mâte . Il a l’air de se rendre compte que je l’observe et détourne la tête pour parler à sa voisine. C’est le mec du 2, celui que j’ai vu à la télé d’en le train. On peut dire qu’hier, je n’ai pas vraiment fait attention aux autres tributs. J’ai passé ma journée sur les ateliers survies. Ce ne sont sûrement pas les plus populaires. Hormis de pauvres gosses trop jeunes, personne n’y été. J’ai mémorisé les plantes les plus importantes sans un grand succès. Je comprends un peu mieux mes notes minables à l’école . Puis j’ai appris à fabriquer un piège et à tirer les avantages d’un milieu. Evan m’a suivi partout, comme un petit chien. Quand, je me décidais à lui dire d’arrêter de me coller aux basques , je m’arrêtais immédiatement devant ses yeux noirs. Quand on parle de chien battu…

Des regards haineux et des soupirs fusent quand le couple du 5 arrive, rouge pivoine. A peine se sont-ils placés que le groupe se disloque. Les carrières se précipitent vers les stands de combats. Je les rejoins, sur les talons des autres soudain timide .Je regarde une fille tirer des flèches en plein dans le cœur des cibles et un mec soulever un poids d’une centaine de kilos. Ma gorge se serre tandis que la file avance.
C’est à mon tour, des plaintes me parviennent de derrière et j’arrive au stand de couteaux . Les lames sont exposées comme des bijoux face à moi .Je choisis la plus fine, puis me retourne vers une silhouette humaine. Je ramène la main en arrière et donne un coup de poignet vers l’avant et lâche le couteau. Qui termine sa course au sol. La déception me gagne elle conquit son territoire qui sera bientôt énorme. Des moqueries se promène ici et là. Je reprends la même lame et la relance. A chaque fois, elle tombe au sol. Après plusieurs tours, j’abandonne et quitte le stand les épaules voutées. Evan me rejoint aussitôt et me suit en silence vers a cafeteria. Je ne prends pas la peine de lui demander ce qu’il a fait même si j’en meure d’envie. Il a dut voir mon échec cuisant comme tout le monde. Je finis la nourriture toujours aussi délicieuse et quitte à table. Cette fois-ci je vais au stand de feu. J’attrape deux bout de bois, normalement la chose la plus commune dans 95 % des arènes. On a des allumettes dans le 8.Je les place comme sur l’écran qui m’explique comment faire et commence à les frotter le plus rapidement possible. Bientôt, une odeur de grillé me parvient au nez et je redouble d’énergie. Ils finissent par se briser dans mes mains et furax je les balance en criant haut et fort un juron. Une fois encore, tous les regards convergent vers moi et je rougis.

Les joues en feu, je cours à toutes jambes vers les portes et me cogne contre quelque chose. Le quelque chose en question se trouve être un torse, musclé. Le torse appartient à quelqu’un. Et le quelqu’un en question se trouve être le mec du 2. Je lève la tête bouche bée et recroise à nouveau ses yeux gris. Ses cheveux de jais sont artistiquement ébouriffés et lui donne un air négligé. Il me dépasse et je lui dis de dégager en l’esquivant. Il me bloque aussitôt. Le petit jeu continu il me bloque à chaque fois et je finis pas réussir à passer.
Je sors de l’ascenseur et cours dans ma chambre, les larmes coulent sur mes joues tandis que j’enfuis ma tête dans mon oreiller.
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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyLun 9 Fév 2015 - 19:40

Chapitre 7, un peu court mais bon...
7•J-2
Cette foutue porte n’est pas fermée à clé !Résultat, je suis sous ma couette et je gueule à chaque fois que quelqu’un passe le seuil. Je n’ai aucune envie d’aller m’entraîner. Pourtant,demain, c’est l’évaluation. Je m’en fiche, si j’ai une mauvaise note, je ferais avec . Je ne tolère la présence de personne, Evan doit être à l’entraînement et ils doivent se dirent que je suis qu’une lâche. S’ils se rendent compte de mon absence. Je somnolais à moitié, en pensant à la vie pourrie que j’ai, pleurant doucement dans mon oreiller ou en le balançant à l’autre bout de la chambre, emportée par la rage.

Un léger bruit me fit sursauter. J’étais dans la phase de lamentation, cela faisait un bout de temps que j’admirais le plafond en me demandant comment j’allais mourir. La porte s’entrouvrit et Maria entra à pas de loup. Elle devait penser que je dormais. Quand elle vit mes yeux rougis par les larmes qui avaient finis de couler, elle fit comme de rien et s’assit sur le bord de l’énorme lit. J’éclate en sanglot, son geste à fait remonter des souvenirs que j’avais refoulé depuis longtemps.

« Elle s’assit sur le bord : -Qu’est-qu’il y a ma chérie ? Elle me caressa la joue d’un geste tendre : -J’ai fait un cauchemar…Des larmes coulait encore sur mes joues.-Ca va aller,c’est juste un vilain cauchemar. Il y avait quoi dans ce cauchemar ? Elle me prit la main : - J’étais choisie. Comprenant tout de suite, maman me prit dans ses bras et sourit en tortillant mes cheveux entre ses doigts : - C’est rien,ça n’arrivera jamais ma chérie.Je t’en fait la promesse.Je ferais tout ce qu’il faut pour que tu ne sois pas choisie. Elle me déposa un baiser sur le front : -Maintenant,dort mon ange. »
Elle a mentit,je la comprends,on ment pour se rassurer. Sa promesse n’a pas été tenue. Même si deux semaines après ce cauchemar,elle est morte dans un incendie.

Maria,après une hésitation me caressa les cheveux. Je faillis pleurer encore plus. Après de longues minutes qui pour moi se transformaient en heure, je m’étais enfin calmée. Je fixais la couverture, vous savez pas à quel point c’est passionnant de regarder en détail une couverture ! Elle finit par briser le silence :

-Quand je suis revenue des Hunger Games, j’ai appris que mes parents et mon grand frère été morts. Ils les avaient tués car j’ai fait une erreur pendant les jeux…A la fin, au moment le plus important, je venais de gagner. Et j’ai pêté une crise, j’ai commencé à hurler que je haïssais le capitole, que c’était des gros c*nnard. C’était transmis en direct, mais je ne sais pas par quel miracle, ils ont réussis à remplacer mes hurlements par des cris de victoire. C’est passé comme un fil dans le chat d’une aiguille. Mais ils ont tués ma famille, j’ai pleuré moi-aussi…J’ai du faire comme de rien devant les caméras, pour éviter de caser des morts, juste par des mots…

Je méditais sur ses paroles, tout le monde se demandait pour quelles raisons ont avait tué la famille de Maria, on savait juste que c’était de sa faute. J’ignorais pourquoi elle m’avait raconté ça. Il y avait peut-être des caméras dans la chambre…Était-ce une mise e garde ? Je la regardais, ses yeux étaient humides mais aucune larme ne coulait.

-Je suis désolée, je l’ignorais…Mais je peux tout me permettre…Ma famille est morte.
-Ils pourraient tuer ben d’autres gens que ta famille…
Carl…Une boule se forma dans ma gorge, si je fait une seule gaffe, il sera mort. Oh mon Dieu, p*tain de bordel de m*rde… Je détestais encore plus ces sal*uds maintenant. J’aurais aimé avoir le président Snow sous la main pour en faire ce que je voulais. Personnellement, je lui aurais planté des milliers d’aiguilles dans le corps avant de le torturer et de le brûler vif sur un bucher. Maria dérangea mes plans d’assassinat :

-La salle d’entrainement est fermée maintenant…Je me demande comment tu feras demain, mais bon, c’est pas de ma faute si tu fais ta tête de mûle…Par contre, je veux te voir au diner. Demain, après l’évaluation, je veux vous voir tous les deux pour que vous soyez prêts pour les interviews…

On retrouvait bien la Maria d’avant…Toujours aussi emmerd*nte…Je soupirais tandis qu’elle quittait la pièce. J’ignorais encore ce que j’allais faire lors de cette évaluation…
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Amy

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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyLun 9 Fév 2015 - 19:43

J'aiiiime *^*
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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyMer 18 Fév 2015 - 14:00

8•Evaluation
Mes mains tremblent. Et je n’ai pas la force ni l’envie de les arrêter. J’ai toujours étais une grande tresseuse. Quand on vit dans la rue, c’est un peu normal. On stresse pour trouver un abri avant la nuit, on stresse pour trouver de la bouffe au moins une fois par jour, on stresse en passant devant des pacificateurs. Je stresse en entrant dans l’usine, de peur qu’un incendie me réduise en cendres. Je stresse quand il y a la sirène qui nous ordonne de nous rassembler. Je stresse quand la main de Jessica virevolte au-dessus des papiers avec mon nom. Je stresse en priant un dieu des petites filles orphelines qui vivent dans la rue et qui se risque à participer aux hunger games. Je stresse depuis que j’ai entendu mon nom. Je stresse depuis que j’ai pris un train avec une femme laide, un mentor peu enthousiasme et un gosse qui mérite pas son sort. Je stresse car maintenant, il y a l’évaluation. Je stresse car ce soir il y les interviews et je stresse car demain, c’est les Hunger Games.

Sentant un contact physique, je sursaute et me retient de pousser un petit cri de terreur. Je suis pitoyable… Evan, qui est assis à côté, me prend les mains et me regarde dans les yeux, ses yeux noirs comme de l’encre sont emplit de terreur. Les miens sont au bord des larmes. Ses mains sont plus petites que les miennes mais chaudes, elles ne tremblent pas, du moins pas encore.Il le mérite pas, il le mérite pas… Personne ne le mérite, mais il le mérite encore moins que moi. Personne n’a encore était appelé pour le moment, mais chacun reste dans son coin. Trop occupé à réfléchir pour me regarder. Heureusement. A part…j’y crois pas . Ce mec m’énerve, j’adresse un regard noir au mec du 2 qui m’observe tout en écoutant les autres carrières qui rigolent. Les 6 carrières sont réunis, ils ont aussi recruté un nouveau partisan, le garçon du 7. Un colosse, naturellement. Voyant que je l’ai pisté, il me sourit. Je détourne la tête, et rougis. On appelle le tribut mâle du District un et les évaluations commencent.

Evan vient de partir, me laissant seul avec les gosses des District 9,10,11 et 12. Mais mains recommencent déjà à trembler maintenant qu’il les a lâchées. Je fermais les yeux luttant contre la migraine qui grandissait dans ma tête.
-Put*in…
L’intérieur de ma joue souffre, je la mordille depuis plus d’une heure. Un gout métallique à emplit ma bouche. Et de la sueur dégouline le long de ma peau. Je haïs le stress. J’entends alors mon nom. Je me lève surprise. C’est impossible que ça se soit passé si vite, c’est même trop court par rapport à tous ceux qui sont passés avant. Je commence à m’inquiéter et m’avance en vacillant vers la porte des Enfers. J’espère juste que c’est moi qui n’ai pas fait trop attention au temps et que ce dernier s’est écoulé à toute vitesse.

J’entre et une odeur dégoutante me frappe en plein de visage. Ça me donne envie de vomir sérieusement. Qu’est-ce qu’il s’est passé, puta*n ? Je m’avance et lève les yeux vers les juges, qui m’observent d’une pièce aux parois vitrées, tels des vautours. Ils me saluent et attendent. Délaissant le stand de nœud, de survie, je me dirigeais vers celui de couteaux. Je ne me suis pas entrainée hier et avant-hier, le lancer de couteau n’as pas vraiment été mon truc.  Je choisis la lame la plus fine encore une fois. J’inspire et j’expire, les deux seuls gestes demandés pour vivre. J’en attrape d’autres et marchent vers la cible, arrêtée devant. Je plante un des couteaux de toutes mes forces en plein cœur, sur le point rouge entouré de cercle rouge. Je répète l’opération sur 22 autres mannequins. Une fois mon œuvre achevée, je recule et observe. 23 mannequins avec chacun un poignard dans le cœur.  Je me retourne et ils me disent de partir. Je quitte la salle, vidée, je ne suis ni fière ni triste de ce que j’ai fait.

J’ai assassiné 24 mannequins, mais je n’assassinerais jamais 24 tributs.
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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptySam 21 Fév 2015 - 17:12

9•Interviews
Les notes ont été dévoilées, nous avions tous regardé le présentateur Julius Aberthy sourire comme un pauvre idiot avec ses cheveux oranges flamboyant et son eye-liner appliqué avec générosité. C’est lui qui présenterait les interviews également, J’ai hâte de te voir Julius ! On été tous devant l’hologramme qui servit de télévision, Jess était dans tous ses états, elle allait et venait en priant pour qu’on ait une note supérieur à 5. Maria avait l’air plus passionnée par son verre vide que par les chiffres qui s’affichaient et défilaient sur l’écran. Avec à côté la photo du tribut concerné. J’ai enfin put savoir la nom du mec du 2, le carrière. Jude. Jude Walker. J’avais envie de rigoler.je ne savais même pas pourquoi j’avais envie de rigoler. Ses cheveux de jais et ses yeux gris fixaient un point derrière moi et son sourire en coin m’agaçait, un 10 brillait à côté.C’est encore un carrière qui allait gagner, 9,10,11,10. Ouai, la fille du 2, elle avait eu 11, onze sérieusement ! Après, les notes étaient médiocres. 5,7,6 parfois un 8. Puis vint notre tour, Julius chantonna mon nom et ma tête de cul apparut. J’avais les yeux écarquillés de terreur et la bouche figé en une grimace. Puis un chiffre apparut 7. Jess pousse un petit cris et Maria grogne , Carter me félicite pour cette note. 7, c’est bien, pour planter des couteaux dans 23 mannequins et de tout près. Quand je les ai mis au courant, Jess a prié pour que je ne me fasse pas buter dès la première minute et Maria a éclaté de rire. Ma photo et ma note disparaissent et la tête d’Evan apparait. Il est beau gosse quand même. Je suis pas amoureuse de lui… Puis un cinq apparait, je me retiens de pleurer, pour un gosse de douze ans, c’est pas mal, c’est pas mal…Pendant l’évaluation, il s’en est tenu aux ateliers de survie. Il est très doué pour faire des pièges, il en invente des complexes et des énormes, il aurait mérité une meilleure note. Les tributs et leurs notes continuent de défilé et ça se termine sur Malcom, du 12 avec 7. Colins, le styliste d’Evan éteint la télé d’un mouvement sec et se lève pour annoncer qu’il était temps de se préparer pour les interviews.

Honneur aux dames cette fois-ci, je fais la file, Evan derrière-moi, on regarde l’écran. La fille du un, juste sublime avec ses cheveux noirs et ses yeux verts entre en souriant . S’ensuit une conversation passionnée avec Julius ou elle charme le public en montrant son petit cœur sensible et en parlant de sa famille pour laquelle elle est prête à gagner. C’est un peu près la même chose pour le mec du un, puis la fille qui a eu 11. Et enfin à Jude, tout souriant, a chaque fois qu’il prononce un son les jeunes filles dans le public l’acclame.J’ignore son sourire taquin et regarde ma robe.

Carter a fait du bon boulot. Encore une fois, je porte une robe. Celle-ci est courte, elle s’arrête juste au-dessus des genoux. Le bas de la robe, est en tulle,comme un tutu mais le plus extraordinaire, c’est qu’elle change de couleur ! Le bleu clair comme le ciel liasse place au violet profond. Il a posé un petit diadème orné de pierres sur mes cheveux, précieuses qui se parent d’une tresse compliquée. Et c’est à peine si j’ai du maquillage, si discret et léger que l’on ne le voit pas. Quand je m’étais vue dans le miroir, je ne me reconnaissait plus et pourtant…la fille qui fabrique des tissus, habillée de loques, aux cheveux sales et aux yeux bleus pâles à l’air constamment triste et devenue une ravissante jeune fille. A la peu de porcelaine, aux yeux bleus éblouissant, aux cheveux blonds dorés comme la crinière d’une lionne. Ca me rajeunissait et me donnait un air innocent. Comme si je n’avais jamais passé 7 ans dans la crasse, dans la cruauté. Comme si je n’avais pas pleuré toutes les larmes de mon corps hier comme si je n’allais pas être envoyée sur le chemin de la mort demain. Demain….

Je me rends compte que ça va être à mon tour et lâche a main d’Evan, j’avais oublié que je la tenais depuis qu’on était sorti depuis ce foutu ascenseur , je m’étais mise à stresser pendant qu’on descendait et à trembler. Je m’avance et un type en bleu me pousse pour me dire de gravir les marches qui mènent vers le ciel. J’entends Julius annoncer ma venue et le public l’acclamer, même si je ne suis pas la favorite, les favoris se sont les carrières. Le public peut vous rendre sourd quand on annonce un de ces c*ns. Je souris et me retiens de trembler et de partir en courant. J’accepte la main de Julius et nous nous asseyions dans les fauteuils. J’aurais bien aimé que cette conversation débile ressemble à ça :

« -Bonjour Lauren » « -Bonjour Julius » « -Tout va bien » « -Non, car demain, je vais sûrement mourir » « -Très bien, alors au revoir ! »

Mais ça ressemblait à ça :

-Ah, je suis content de te voir Lauren ! Tu as une très jolie tenue ! Tu veux bien nous la montrer ? Qu’en pensez-vous cher public ?

Le public applaudit et crie oui, j’ai bien envie de leur crier de la fermer mais il n’aurait pas apprécié. Je dois avoir un objectif ce soir, charmer le plus de gens possible. Je me répète cet objectif encore et encore et me lève en souriant. Je tourne pour leur montrer ma robe rouge éclatante qui passe au bleu nuit. Tout le monde applaudit de plus belle, Julius m’invite à me rasseoir :

- Elle est magnifique, on dirait une princesse !comme dans es contes de fées, petite, j’étais une princesse et la méchante sorcière m’a envoyée aux Hunger Games mais à la fin, le prince charmant ne sera pas là et la jolie princesse mourra. Ce sont les contes de fées de la réalité.

-Dis-moi Lauren, commentvas-tu? J’espère que tu te plais ici, au Capitole ,il prit un air faussement inquiet. Je vais mal, car demain je vais sûrement mourir,et non, je ne me plaît pas du tout ici. Car y’a juste des gens qui parient sur e nombre de jours que je vais tenir et après car y’a un c*n du District 2 qui me pourrit la vie.Ah et attendez, vous allez envoyer un gosse de 12 ans à la mort. Au lieu de ça, je souriais :

-Merci, je vais très bien, je suis plutôt contente de la note que j’ai obtenue et impatiente pour demain ! Hmm, Capitole me plaît. Quelle magnifique ville !J’aurais bien aimé que mon séjour dure plus longtemps…prenant un air triste j’espérais que cela paraissait vrai devant les caméras. Le public qui avait attendu en silence pendant que nous parlions poussait des « oooh » de déception.

-Eh bien , Lauren,nous aussi nous sommes très impatients quant aux jeux qui débuteront demain.Si tu permets des conseils : il te suffit juste de gagner les Hunger Games et le Capitole seras à toi, je suis sûre que nous serons heureux de t’accueillir. Le public confirme ses dires, depuis qu’il fait les interviews, Julius réussit toujours à amené le sujet « Il te suffit de gagner ». Plus facile à dire qu’à faire. Pour lui ça à l’air vraiment facile puta*n ! T’as juste à y aller puis à revenir !Je me retiens de le poignarder comme les mannequins de ce matin.

-Julius…Eh bien, naturellement, je vais essayer de gagner. Le seul problème, c’est que nous sommes 24 à vouloir gagner.

-Et il te suffit juste d’avoir un peu plus de volonté que les autres, une alliance en vue, peut-être ?Je n’ai jamais vraiment apprécié les alliances, car on aura toujours peur que l’autre nous tue quand on a le dos tourné.Ou bien d’être les derniers et d’avoir à se tuer.

-Je verrais bien parmi les alliés potentiels ceux qui pourraient en devenir des vrais, les lliances sont toujours très utiles.

-Très juste, Lauren et j’espère que tu en trouveras une.
Un ding sonore annonça la fin de mon interview, qui avait une limite de temps, sauvée par le ding. Je réprimais un soupir de soulagement et nous nous levâmes pour saluer le public. Julius me serra la main :

-Mesdames, messieurs, Lauren Curtis , district 8 !J’espère te revoir princesse, moi comme tout le monde ici.
Un bonus:
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Amy

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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptySam 21 Fév 2015 - 17:25

J'aime *^*
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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyLun 30 Mar 2015 - 19:22

10•la fin du début.
-Impossible de dormir…

C’est ce que dit Evan, qui a eu la même idée que moi, aller sur le balcon. Le seul endroit ou nous pouvons sentir l’air frais et admirer Capitole. C’est beaucoup plus beau que le 8, mais cela ne sera jamais chez moi. Les buldings , les lumières,… J’ai l’impression d’être en plein jour.Chez nous, avoir de l’électricité pendant plus de trois heures à la suite relève du miracle, même si je n’avais pas trop l’occasion de côtoyer l’électricité. Dans la rue, on faisait juste un petit feu. Je m’étais assisse sur le rebord, mourir d’une simple chute semblait être un rêve par rapport au cauchemar qui débutera demain…

Il s’assoit â côté et observe lui aussi la ville. Je remarque des larmes, qui dégoulinent sur ses joues et finissent leurs trajets par une chute sans fin. Mes yeux s’humidifie et je regarde le ciel, aucune étoile n’y brille. Il est seul cette nuit. Je préfèrerais lui tenir compagnie…
Pour éviter demain.
Car demain, c’est les Hunger Games, que demain je pourrais être morte, ou vivante. Que demain, des gosses seront tués. Que demain des familles seront en deuil, elles auront perdu leur gosse. Elles verront leur mort en direct et elles ne pourront rien faire juste regarder et fermer leur gueule. Demain, les jeux commenceront et il n’y que deux solutions pour en sortir. Gagner ou mourir.

Mes épaules tressautent et je tremble. Je m’accroche désespérément à la barrière.
-J’aimerais bien que tu gagnes, Evan parle d’une voix tremblante.
-Ca n’arrivera pas,je me rattrape aussitôt : désolée,..mais j’aimerais bien que ce soit plutôt toi, tu le mérite.
-J’ai encore moins de chance que toi. Et je ne mérite rien, ils se foutent de notre âge. E suis là, et je serais toujours là demain. C’est pas comme si, tout à coup ils se rendraient compte qu’il y a un gosse dans la sélection. Sa maturité m’impressionne et je dois avouer qu’l a raison.
-J’aimerais bien qu’ils se rendent compte qu’on est tous des gosses.
Il soupire.
-Je préférais qu’ils se rendent compte que la paix, c’est pas des jeux ou il y a des enfants qui entre-tuent. Cette réflexion pourrait être drôle.Mais elle ne l’est pas du tout. Ce sont les 71ème , Lauren. 71 fois qu’un peuple regarde les leur mourir sans réagir. 71 fois 23, ça fait plus de 1500 morts…Et ça continuera.
-N’y pensent pas, Panem ne se rebellera pas. Le capitole est trop puissant.
-Le capitole a besoin des districts pour vivre. Le peuple pourrait…
-Et il ne peut pas…la dernière fois, un district a explosé et ils ont inventé ces jeux.
Je lui avais répondu plutôt brusquement. Il me regarde, ses yeux sont emplit de tristesse et de frustration.
Je viens de me rendre compte d’un truc. Je n’y crois plus. Mon espoir m’a quitté. Je ne suis pas un gosse. J’en ai trop vu, j’ai cessez d’être un enfant bien avant le jour où j’ai appris que j’allais mourir. J’ai cessez de grandir quand mes parents sont morts et que mon petit monde s’est écroulé. Je n’espère plus,pour moi, il est impossible de vaincre un jour le capitole. Je pense que je croie encore, à… rien. Peut-être qu’un jour, si nous sommes sages, et que nous allons sans protester aux HG et bien, le capitole nous accorderez la liberté. En faites, cet espoir est encore plus stupide que celui d’Evan.
-Si tu gagnes, tu pourras dire à mes parents et à ma sœur, que je suis désolé. Sur ces mots, il se barre , il doit être un peu en colère. Je les un peu rembarrer brusquement. J’ouvre la bouche pour lui dire de revenir et je me ravise.
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MessageSujet: Re: Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup   Fan Fiction sur ... un livre que j'aime beaucoup - Page 2 EmptyMar 7 Avr 2015 - 20:29

10•J1.
Nous descendons dans les entrailles de la terre. Maria et Evan à mes côtés, mon cœur tambourine dans ma poitrine emplissant mon corps de ses pulsations régulières. Je fixe le sol, me tortillant sur place, le silence est écrasant. Personne n’ose parler, même pas Maria. Jess s’est déjà rendue au centre des sponsors, elle essaiera de négocier des cadeaux mais je sais très bien qu’aucun sponsor ne daignera nous accorder son argent. Je lutte pour que ma respiration reste régulière. L’ascenseur s’arrête et les portes s’ouvrent. Nous allons être séparés. Evan leva les yeux vers notre mentor :
-Eh,bien,…bonne chance.
Je l’observais, étonnée, quoi ?C’est tout ?Juste bonne chance ! Je m’apprêtais à quitter l’ascenseur, quand elle nous pris tous les deux par les coudes et nous serra dans ses bras. Je m’abandonner à son étreinte, les larmes me montaient aux yeux, Evan pleurait déjà. Elle nous relâcha et avant que nous la quittions, elle me chuchota :
-Fais attention à lui.
Evan était peut-être un gosse qui ne méritait pas ça, mais moi aussi j’ai le droit de vivre. Un sentiment nouveau monte en moi,la jalousie. Je n’ai donc aucune importance aux yeux de Maria ? Le souffle court, je me dirige vars l’overcraft, des soldats m’encadrèrent immédiatement, comme à la moisson. On nous sortait deux par deux par ordre de district, si bien qu’en arrivant à l’intérieur 14 personnes étaient déjà assisses. Certains pleuraient, préconisant leur mort prochaine, tandis que les carrières trépignaient d’impatience. Le siège sur lequel le chiffre 8 était inscrit n’attendait plus que moi. Je me retrouvais face à Evan, une rangée de filles et l’autre de garçons.
-Tends le bras.
Je levais les yeux vers celle qui m’avait accosté et vit l’énorme seringue qu’elle tenait, ignorant mes yeux ronds comme des soucoupes ,elle planta l’aiguille dans mon bras. Je frémis et lui jeta un regard noir dés qu’elle eut le dos tourné. Mon regard papillonna sur le groupe de carrière, dans le fond, mes yeux croisaient ceux de Jude, qui me surit d’un air goguenard .Il imita quelqu’un qui mourrait étranglé en mettant sa main à son cou et en révulsant les yeux .Perplexe,je détournais le regard.Une fois tout le monde à bord, l’overcraft décolla. Le voyage vers notre lieu d’exécution avait commencé.

J’entrais dans la pièce et les pacificateurs claquèrent la porte sur moi. Carter était penché sur un bout de tissus, je m’approchais et il me stoppa. Il s’approcha, en me demandant de me déshabiller. J’obtempérais, il me donna ensuite la tenue et m’aider à l’enfiler. Cachant mes yeux de sa main, il me fit avancer et je me retrouvais face à un miroir. Tandis qu’il me faisait une tresse compliquée je pris le temps de m’observer. Je n’étais plus du tout Lauren Curtis, la fille des rues que j’entrapercevais dans le miroir des toilettes de l’école. Cette fille n’existe plus et n’aura jamais le loisir d’exister à nouveau. Je me retrouvais face à une fille de taille moyenne, la silhouette mince mais pas aussi maigre que quand j’étais dans le 8. Elle porte un pantalon noir qui lui colle à la peau, d’un T-shirt noir et d’une veste noir.Elle se tenait bien droite, son visage dégagé, ne semblait exprime aucune émotion. Mes ses yeux bleus acier étaient emplis de terreur. La Lauren des Hunger Games, était une poule-mouillée. Une voix annonçant un décompte à partir de20 retentit .Carter me pressait d’entrer dans un tube de verre . J’eu la soudaine envie de fuir à toutes jambes. Mon instinct me commandait de ne pas entrer dans ce tube, Carter me poussa et avant de se retirer me noua un collier autour du cou. Je suis certaine de l’avoir entendu murmurer bonne chance. Je portais la main à ma gorge et sentit la chaîne et la parle que Carl m’avait offert. Dans un sifflement, les portes se refermèrent et je me retournais. Je posais les mains sur la surface et regarder Carter dans les yeux, articulant un merci inaudible. Je le remercier et je voulais aussi qu’il voie à quel point j’avais peur, à quel point je souffrais. Qu’est que cela faisait, que chaque année on préparait des tributs avant de les envoyer à la mort ?Ressentait-il quelque chose en les voyant se faire assassinés ? Je commençai à m’élever vers le ciel, je fermais les yeux, et articula un seul mot : Adieu.
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