Présentation de Nuage Voyageur.
Vous :
Prénom (Facultatif) : Léa.
Âge : 16 ans.
Sexe : Féminin.
Puf : Auty.
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Comment as-tu connu le forum ? ICI
Un conseil pour l'améliorer ? ICI
Votre Personnage :
Noms : Tardis - Petit Voyageur - Nuage Voyageur - /// - Etoile Voyageuse - Fin du Voyage.
Âge en lunes : 8 Lunes.
Sexe : Féminin.
Clan : Ou je trouverai un mentor.
Rang : Apprentie..
Envie, projet(s), regret(s) de votre chat : Devenir quelqu'un de meilleur. Rencontrer des chats qui l'aimeront pour ce qu'elle est et ne parlerons jamais de ses origines.
Lien(s) familiau(x) :
Garden - Mère.
Ombrage - Père.
Rassilon - Frère.
Gallifrey - Sœur.
Omega - Frère.
Physique :
Le physique n'est qu'une image donnée aux autres. Une image qui cache ce que nous sommes vraiment, un voile blanc qui ne montre pas notre intérieur, elle ne nous représente pas. Quelqu'un portant un physique plutôt désavantageux est vite mal vu, directement jugé par les autres, alors que personne ne sait ce qu'il y a derrière cette atrocité. Mais qui a dit que le physique reflétait la personne d’elle-même ? C'est faux. Le physique n'est qu'une simple image, il ne fait pas notre identité. L'identité n’est rien d'autre que ce que nous sommes réellement. Chaque personne est libre de changer, mais pas si facilement que l'on puisse dire. Et même la mort elle-même ne peut détruire l'intérieur. Il n'y a que ton pauvre corps qui ne puisse supporter le poids de la mort. Tu portes en toi le noir, couleur de la haine et du mal. Mais au début du cache existence, l'innocence n'est-elle pas véritable ? Non, à ta naissance tu étais loin d’être innocent, vue que ton existence était à elle seule un dangereux péché. Un péché comme des centaines d'autres. La joie que porte l'amour n'en est pas un. La colère si. La rage, la haine profonde qui entraine les âmes dans les abimes du monde des morts, dans les arcanes de la vérité. Un félin au sombre pelage reste hélas une ombre. Même si quelque rayure plus claire couvre ton dos et tes jambes et que ta large tête dotée de deux grandes oreilles ravagée par les blessures due à une enfance difficile, tu restes sombres. Mais un autre mystère résides en toi, tes étranges pupilles semble faite de glace. Presque impossible, c'est dû à une malheureuse malformation. Comme chaque personne existant en ce monde tu portes des cicatrices, des blessures justes refermées. Qu'elle se porte dans ton cœur ou sur ton pauvre corps. Je n'ai jamais vu autant de cicatrices sur un aussi petit corps. Surtout celui d'un jeune chaton. Surement dû à tes nombreux combats contre la mort. Prouvant avec certitude que ton passé n’étais pas joyeux et qu’il ne la certes jamais été. Ton ventre lui est l'oppose, un blanc presque spectral que personne ne peut posséder...
Caractère :
Ta voix résonne sur des murs invisible. Une prison. Une bulle de verre ou ta voix résonne sur les murs. Comme une danse effrénée, jouant sur le rythme d’une musique endiablée. Mais ta voix ne porte nulle part. Personne ne peut t’entendre. Entendre cet unique son qui sort de ta bouche déformée par la rage et la haine qui ronge ton cœur solitaire. Tu aimerais pouvoir par toi-même brisée cette bulle mais malgré les nombreuses tentatives qui te coûtèrent de si nombreuses choses, il ne se passait rien. L’air en devient irrespirable, tu suffoques, peu à peu tu perds ton souffle, ton cœur s’agite, perd son contrôle évident. Tu fermes les yeux, espérant ainsi te calmer. Mais l’oppression de cette cage de verre commence doucement à faire diminuer l’horloge de ton cœur, chaque minute, chaque seconde s’envole vers l’étendues blanchâtres et somptueux des nuages. Tes lourdes paupières s’entrouvrent pour fixer le vide. Un vide devenu bien trop étroit. Tes yeux si chatoyant se couvre d’un voile gris, mélancolique. Le temps continue de passer, un défilement incessant. Le paysage se couvre d’un manteau blanc. Tu es l’enfant innocent, faignant de ne pas reconnaître sa propre erreur que d’avoir accepté une vie dans un tel monde ingrat, la tête remplie d’un rêve incertain. Mais la solitude qui te tient compagnie chaque jour semble te quitter, non la vie te quitte. Elle laisse la mort t’emprisonner dans ses griffes glaciales. Elle absorbe ta vitalité omniprésente. Tu lâche un soupire fastidieux et tu les observes. Les autres. Ils sont là tous les jours à te dévisager. Comme si tu étais un spectacle intéressant, tu les vois ils essayent de te parler. Mais tu ne les entends pas. Tu vois à travers leurs yeux ébahis ta propre souffrance. Et tu t’imagines à leur place, courant dans l’herbe mouvante, poursuivie par tant d’amis. Chassant en pleine forêt sous les regards interrogateurs du soleil. Dormir entouré d’un beau monde, parler sans réfléchir aux actes de tes paroles pleines d’ivresses. Et tu te perds une seconde fois dans leurs râles muets incessants. Tu refermes les yeux, cette fois pour de bon pour finalement sombrer dans le sommeil..
Histoire :
Le froid et le silence sont maîtres de cette nuit d’automne. Le soleil doucement finit sa course à travers le ciel laissant derrière lui une douce lueur dorée. Tu es là sous les étoiles du firmament, mais tu n’es pas seul, que serait ta vie dans cette solitude. Autour de toi ta famille qui à jamais disparaîtra dans la brume sombre. Tu ne regardes pas les astres, pourquoi fixer quelque chose que l’on peut voir qu’à moitié ? Pourtant être borgne ne semble aucunement te gêner, bien que cela doit être perturbant alors que tout jeune chaton tu ne peux jouer normalement. Tu laisses le temps et la douleur passer son chemin, la rancune n’existe pas. Toujours assis, tu tournes la tête vers ton nid dans lequel tu vivais en compagnie de ta mère. Tu n’aimes pas cet endroit, les hommes te font peur avec leurs trop grandes pattes. Tu ne goûte pas encore à la croquette de ta mère mais rien que les voir te fait ressentir qu’un profond dégoût. Tu te lèves enfin pour rentrer dans la chaleur, quittant ainsi le froid mordant de l’extérieur. Les jours passent, le même quotidien suit son chemin. Mais tu aimerais juste sortir ne serait-ce qu’un moment de cet endroit. Tu n’oublies pas ton objectif alors te rendant compte du portail ouvert alors que tu jouais dans le jardin, tu t’échappes découvrant ainsi un monde que tu ne connais pas. Mais tu ne pouvais savoir qu'en voulant tant la liberté elle pourrait te causer bien des soucis ? Tu avances, tu vois alors la véritable facette du monde, une beauté éphémère, tout est noir, sombre, morts. Mais pourquoi un éclair rouge vif éclaire ta vue pour te plonger dans les abysses profondes des ténèbres ? Que se passe t-il ? Pourquoi une telle douleur te coupe la respiration ? Tu te sens doucement basculer. Tu sombre dans un vide. Pendant ce laps de temps, tout fut noir, effrayant, inquiétant. Dans un sursaut tu te réveilles, dans un petit nid de mousses, mais tu n'y voit rien, juste un trou noir béant, mais tu sens la présence de quelque à tes côtés, quelqu'un d'inconnu, on peut lire l’incompréhension dans ton regard désormais vide. Il te parle, tu ne veux pas leurs répondre, tu reste assis immobile, le cœur brisé, tu comprends maintenant, mais tu n'as pas envie de partir, ces chats ont l'air plutôt gentil. Et puis ici au moins tu es libre..
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